Le Général fait partie de ces Hauts-Dignitaires qui ont pris l'habitude d'être servis.
Chaque soir du séjour d'Helmut à NANTUA, Marc est ainsi contraint - mais cela lui plait en fait - de jouer les caméristes et de déshabiller celui qui s'apprête à le 'baiser", de ranger soigneusement au fur et à mesure les vêtements militaires et les armes de son amant provisoire .
Déja complètement nu et "peloté" au cours des opérations d'un tel "désapage", l'adolescent est finalement assez" fiérot" de se sentir désiré, excité aussi par cette découverte progressive d'un corps super-viril.
Si, auprès de Hans, le Lycéen connaissait les charmes d'une certaine domination, il prend connaisance avec le Grand Chef d'Armée de la soumission véritable :
Il n'est pas question de prendre la moindre initiative, le partenaire d'Helmut devant être un objet docilement sexuel, dépourvu de tous tabous et sachant offrir sa bouche et son cul au gré des désiderata du Maître,
se montrer constamment apte à satisfaire la libido d'un homme qui, malgré ses cinquante cinq ans, est sous l'empire de besoins et d'une endurance hors du commun.
Peut-être y aurait-il problème si Helmut n'était pas bon amant?
Mais tel n'est pas le cas
Le Teuton sait diriger le corps de ses concubins autant que ceux de ses troupes.
Il embrasse et caresse à merveille même si les mots d'amour sont exclus de son vocabulaire,
a l'art de mouvoir sa superbe bite dans une gorge aussi alerte que celle de Marc
et celui de la faire aller et venir dans une antre réceptive avec une extraordinaire alternance de nonchalance et de violence "hard".
En début, milieu et fin de nuits, Marc doit se donner à la volonté de son compagnon.
Il en éprouve de grands plaisirs,
quoique mécontent, parfois, d'être réveillé à trois heures du matin par une queue qui se frotte contre ses fesses et de les sentir douloureuses en journée sur les bancs du Lycée.
Mais tout cela n'est rien au regard des sensations sublimes d'ine hampe somptueuse taraudant ses cavités buccale ou anale,
de l'onction crémeuse et abondante envahissant ces ouvertures,
sans oublier les échanges verbaux entre Hans et Helmut que, Germaniste en herbe, Marc arrive à comprendre, puis à transmettre aux Jacques et Jean, ses Vicaire et Oncle Résistants :
Sans qu'il y ait de morts, des convois ennemis seront ainsi interceptés, avec captures de munitions, fusils et revolvers.