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 Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée

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3 participants
AuteurMessage
nathan




Masculin Capricorne Serpent
Messages : 1
Date de naissance : 07/01/1990
Date d'inscription : 19/11/2010
Age : 34

Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée Empty
MessageSujet: Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée   Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée Icon_minitimeMer 8 Déc 2010 - 23:37

Je m’étais connecté sur un chat gay avec le pseudo : 19ans_decouverte. Cela faisait plusieurs semaines que cette idée me trottait en tête car je m’ennuyais de plus en plus avec les filles. Je ne jouissais plus que d’une manière mécanique. La plastique des femmes ne m’émouvait plus que peu. Je commençais à baisser les yeux sur les bosses prépondérantes des mecs dans la rue ou sur les queues mouillées sous les douches dans les vestiaires après des séances de squash.
Je ne savais pas trop comment aborder d’autres connectés sur le chat, sur quels critères, etc. Je ne savais pas, mais très vite j’ai été contacté par plusieurs personnes de différents âges.
Chacun me demandait de me décrire. Je répondais par des copier-coller : 1m75, 68kg, châtain clair mi-long, yeux gris-bleus, puceau avec les mecs.
Je me suis vite laissé séduire par un homme de 37 ans qui a su me donner envie de me confier à lui. Il m’a mis en confiance et m’a excité par la même occasion. Belle description d’un homme à la carrure d’un rugbyman viril. Il m’a invité à l’appeler sur son portable.

Je lui ai dit OK mais je ne voulais pas qu’il croit que c’était forcément gagné pour lui car j’avais à la fois peur et bourré de désirs et de curiosité. « J’ai peur de t’appeler. C’est nouveau pour moi d’être attiré par un homme. »

« Ce n’est pas grave. Je suis patient. Tu es en train de franchir une nouvelle étape dans ta vie. Ce n’est pas simple d’accepter ce que l’on a refusé d’accepter si longtemps. A chacun son rythme. »
J’ai fini par l’appeler. Il était ravi.
« Salut, c’est moi ! »
« Tiens ! Olivier ? »
« Oui. Tu vois, je t’appelle, Bruno »
« Je suis content que tu aies le courage de m’appeler. »
« En fait, tu m’attires beaucoup. »
« C’est bien de se l’avouer. Qu’est-ce qui t’attire autant ce soir ? »
« Ta patience… et surtout la description de ton physique. »
« Tu apprécies le physique des hommes à la carrure de rugbyman. Ca t’excite donc ? »
« Oui. On doit se sentir en sécurité au creux de tes bras. Et puis, tu dois avoir une belle queue ? »
« Si je te dis un gros double décimètre, ça te parle ? »
« Vraiment ? »
« C’est la pure vérité. »
« C’est énorme ! »
« On s’y fait assez bien. Ca donne beaucoup de plaisirs en tout cas aux mecs passifs qui la reçoivent en eux. »
« Tu vis seul ? »
« Oui, je suis un pur homo et sans conjoint actuellement. »
« Et tu n’aimes que les mecs plus jeunes que toi ? »
« C’est mon pêché mignon. »
« Qu’apprécies-tu particulièrement chez eux ? »
« Leur petit cul ferme, leur innocence, leur folle excitation de me bouffer la matraque et aussi leur folle énergie et leur spontanéité ».
« Tu vas avoir envie de m’enculer ? »
« Certainement oui. Cela te gêne ? »
« Je n’y avais pas vraiment pensé jusqu’à présent. »
« Tu avais pensé à quoi en particuliers ? »
« A rien de schématique en fait. Je suis juste très attiré par la queue des mecs depuis quelques temps. Je me vois à genoux pour leur embrasser ou leur sucer le gland et la tige raide. Pour le reste, je crois que je suis ouvert à la découverte. »
« Comment peux-tu me décrire ton cul, Olivier ? »
« Petit tout mimi… fesses rondes et musclées…sans poils… peau douce aux dires de mes ex… voila ! »
« Et ta rondelle ? Comment est-elle ? »
« Je ne sais pas. »
« Tu ne l’as jamais regardé ? »
« Non, jamais. »
« Tu es nu ? »
« Non. »
« Fous toi à poil et regarde ta rondelle dans un miroir, petit cul. »
Je me suis déshabillé complètement.
« J’y suis. J’ai une petite glace dans la main. Je t’écoute. »
« Assis-toi et mets le miroir face à ton anus. Regarde et décris le moi ensuite. »
En m’asseyant sur la baignoire j’ai remarqué que j’avais un début d’érection. J’ai basculé mon bassin pour découvrir ma rondelle et j’ai regardé. J’ai même admiré.
« Elle est rose ! »
« Cela te surprend ? »
« Je croyais qu’elle était brune à cause de… tu vois ce que je veux dire. »
« Pas à ton âge. Tu es jeune et beau. Tu as des poils autour ? »
« Non, aucun. Mince, tu es déçu ? »
« Non au contraire, je préfère vraiment que tu n’en ais pas. »
« Vrai ? »
« Oh oui ! J’embrasserai à pleine bouche tes fesses et aussi ta jolie rondelle rose. Je te passerai la langue sur toute la raie. Je me régalerai à titiller ta rondelle avec le bout de ma langue. »
« Tu aimes ça, je l’entends bien. Tu me donnes envie. Ca doit être très agréable. »
« Très. Tu en redemanderas. Tu écarteras davantage tes jambes pour te faire bouffer le cul encore plus profondément. J’aime déguster longuement le cul des petits mecs qui gémissent comme des filles. »
« Si je gémis de plaisir avec des sons aigus, tu kifferais ? »
« Oh oui ! Rien n’est interdit avec moi. Tu laisses exprimer ta véritable nature et tes folles envies, les plus féminines qui soient. »
« Qu’est-ce que je te ferai pendant ce temps-là ? »
« Au choix : rien et tu savoures ma dégustation anale, ou alors tu lèches ou suces mon menhir selon la position où tu te trouves. »
« Ca veut dire qu’en 69 je te suce la tige et tu me dégustes le cul ? »
« Oui, c’est une possibilité. Cela te tente ? »
« Si je regarde ma bite : bah oui, elle en est raide dingue ! »
« Tu mouilles beaucoup du gland ? »
« Oui. »
« Humm et tu l’as déjà goûtée ta mouille ? »
« Oui car j’aime bien me lécher les doigts quand je me branle. »
« Et ton sperme, tu l’as déjà goûté ? »
« Oui, hier soir. »
« Et alors ? »
« J’ai aimé et je me dis que je pourrais certainement aimé celui d’un autre, pourquoi pas le tien. »
« Le mien, tous les autres l’ont adoré et en ont redemandé sans me vanter. »
« Tu gicles beaucoup quand tu jouis ? »
« Oui, tu vas déguster petite bouche en prenant le temps que tu veux. »
« Tu vas m’étouffer avec ton sexe et ton sperme ? »
« T’inquiète pas ! Tu vas les adorer comme les autres. Tu en voudras encore plus. »
« Tu as eu beaucoup d’autres mecs ? » « Pas mal ouais. Une bonne quarantaine. »
« Elle est vraiment grosse ta queue ? »
« Oui, elle est bien ronde et bien épaisse, à la fois tendre et dure. Tu vas follement l’adorer. Qu’est-ce qui t’attire dans la queue des mecs ? »
« Le gland, je crois. »
« Humm, oui… le mien est très attirant. En quoi le gland attise autant tes envies ? »
« Sa forme de champignon majestueux. La fente, le frein. Sa force et sa fragilité aussi. L’odeur du mien me plait aussi. »
« J’espère que tu aimeras ma bonne odeur virile. Elle sent si bon et si fort. »
« Je l’espère aussi. »
« Tu veux que l’on se voit chez moi ce soir ? »
« Hum… oui, je crois. Je pourrais ainsi sentir ta bonne odeur virile. »
« Tu pourras même toucher et caresser mon sexe si tu veux. »
« L’embrasser aussi ? »
« Oui. Tu pourras le déguster aussi longtemps que tu voudras. »
« Ce sera la première queue d’un mec que je toucherai avec mes doigts et aussi avec mes lèvres. »
« Et la langue ? »
« Oh oui, la langue aussi. Ca doit géant d’avoir un gros gland posé sur sa langue. »
« Tu auras certainement envie de t’endormir avec ma queue comme nouvelle tétine. »
« Je le crains oui. »
« Tu peux passer la nuit complète chez moi, sans problèmes. C’est toi qui décides. Tu es libre de tous tes mouvements… et pas uniquement ceux de ta bouche sur mon gros double décimètre. »
« Tu es sympa. Je te remercie. »
« Je te préviens d’une chose. J’héberge mon cousin qui est de passage sur Paname cette semaine. Il est sorti ce soir, mais il rentrera cette nuit. Il est homo lui aussi. Il vit sa vie comme bon lui semble. Il peut très bien se ramener avec un mec dans sa piaule. On risque de les entendre s’amuser ensemble. Cela ne te pose pas de problème ? »
« A priori non. »
« Tu n’auras pas honte si jamais il te voit ce soir avec moi dans le salon, ou demain matin dans mon lit ? »
« Je sais assumer mes pulsions, pas de problème. »
« Alors, voila mon adresse… Je t’attends, bonhomme. Dès que tu arrives en bas de chez moi, je te file mon code d’accès. OK ? »
« OK. Je pars maintenant. J’y suis dans 15 minutes. »
« Je t’attends, Olivier. »
Sans réfléchir, j’y suis allé de suite. Je l’ai rappelé, il m’a donné son code d’entrée. Je suis entré, je suis monté à son étage.
Sa porte d’entrée était entre ouverte. J’ai frappé tout doucement. Elle s’est ouverte.
« Salut Bruno. »
« Entre bel Olivier. »
Il était aussi beau comme je l’avais imaginé à partir de sa description. Barraqué comme une armoire à glace. Un beau brun qui sent bon ! Il m’a reçu en robe de chambre blanche fine avec une ceinture rouge. J’apercevais en transparence les ombres de ses poils sous le tissu.
« Tu es très mignon, comme j’aime, Olivier. Tu veux boire quelque chose ? »
« Merci. Oui. »
« Un whisky coca ? »
« Pourquoi pas oui. »
« Le salon est en face. Assis-toi sur le canapé. Hum… joli p’tit cul. J’apporte nos verres. »
« Je dois me déchausser ? »
« Comme tu veux. Sois à l’aise. »
J’en ai même profité pour retirer mes chaussettes. La moquette était épaisse et agréable à marcher pieds nus.
Bien installé sur le canapé en cuir noir, je l’ai regardé préparer nos verres dans le salon.
« Il fait chaud chez toi. » lui dis-je tout en retirant mon pull-over.
Il s’est assis juste à côté de moi.
« C’est un chauffage collectif. Je ne peux pas le baisser. Fais comme chez toi. Tu peux baisser ton pantalon si tu en as envie. »
Je me suis levé et j’ai enlevé mon pantalon en lui tournant le dos. Il a pu admirer ma croupe et mon slip blanc. Il a beaucoup apprécié ce spectacle. Excité, je bandais dur et je me suis présenté face à lui avec mes quatorze petits centimètres enfermés dans mon slibard tendu.
« Tu bandes le puceau ! »
« Tu me plais beaucoup. Je peux venir m’asseoir sur toi ? »
« Viens ! J’attends ton joli petit cul sur mes cuisses. »
Je me suis assis donc sur ses cuisses face à lui ; il était ravi. Ses bras m’ont enlacés le bassin.
« Tu n’es pas si timide pour un petit puceau, toi. »
« Je suis excité comme une puce depuis que j’ai dialogué avec toi, Bruno. »
Ses mains sont passées sous ma chemise et m’ont caressé un bon moment le torse et mes tétons tendus. Puis il m’a tendu mon verre.
« Bois un coup mon chéri, cela va te rafraîchir un peu. Je suis tout aussi excité que toi. Tu sens sous tes couilles une douce tension de ma part ? »
« Oui, très belle tension et je suis content d’être placé ici, juste au-dessus d’elle. »
« Tu apprécies le contact avec les hommes toi. Tu n’es pas farouche, petit puceau. »
Pendant que je buvais pour la première fois de ma vie un whisky coca, ses mains m’ont ouvert la chemise face à lui et se sont posées sur mes fesses. Il se mit à me les caresser tranquillement mais aussi fermement. Sa bouche s’est posée sur mon téton droit. Il me l’a embrassé tendrement, puis sa langue a joué avec mon téton devenu très dur tant l’excitation était grande. J’avais du mal à siroter mon coca alcoolisé sans gémir de plaisir à chaque coup de langue. Pour ne pas faire de jaloux, il a honoré mon autre sein avec la même dextérité.
« Ta peau a bon goût et tu es très sensible des seins, ma puce. »
« Tu m’excites follement, Bruno »
« Tu bandes dur dans ta petite culotte, ma pucelle. Je peux libérer ta belle pine et la regarder ? »
« Oui. Tu peux même la toucher comme il te plait. »
Avec dextérité il m’a extrait la queue de mon slip par le côté, tout en dégageant mes petites couilles. »
« Tu as une très jolie petite bite, bien faite et bien droite, mon ange. Sa peau blanche est d’une grande douceur. Elle est déjà très humide. Elle sent bon aussi. Hum… tu as déjà fini ton verre ?! »
« Oui, certainement l’impatience que tu m’embrasses les lèvres, tout en me caressant la tige ».
Il a débarrassé mon verre en le posant sur une petite table à côté du canapé. Ses mains sont passées sur mon dos, puis sont remontées vers ma tête, tout en m’embrassant le torse.
Il m’a fait glissé en arrière la chemise. Une fois une de ses mains arrivées ensuite à ma nuque, il a basculé sa tête en arrière pour amener la mienne à ses lèvres.
Il m’a embrassé les lèvres doucement, puis sa langue a ouvert un passage entre mes lèvres pour s’engouffrer tendrement dans ma bouche. Un long baiser profond m’a envahi la bouche me faisant frissonner d’émoi le corps en entier. Je sentais la pointe de sa queue sous sa fine robe de chambre en soie me titiller le dessous des fesses.
Spontanément mon cul s’est agité dessus pour exercer de tendres pressions pour mieux sentir sa folle excitation qui pointait sur ma raie ouverte.
« Tu as l’air d’apprécier, ma puce. »
« Beaucoup, Bruno. Embrasse-moi encore, c’est trop bon. Jamais je n’ai eu un tel baiser auparavant. »
« Bien, mon bébé. Je suis si heureux que tu sois venu ce soir. Tu es délicieux. »
Il m’a embrassé de nouveau tout en me caressant les fesses. Il a réussi à m’écarter le tissu d’un côté des fesses pour en s’amuser à me les écarter pour que son gland joue sur ma raie, dans cette position où j’étais à califourchon sur lui, bien assis sur son canapé. Ma queue était tout humide de plaisirs. Il m’a gentiment branlé avec douceur. Cela faisait du bruit et un bien fou.
« Tu es très excité, ma puce. Tu ne vas pas gicler tout de suite tout de même ? »
« Ce serait idiot, je sais. Ah ! Mais ça va, hum… je tiens le coup. Ah ! »
« Lève toi ma puce. Place toi entre mes jambes. Oui, comme ça. Je t’enlève ton slip blanc pour admirer la beauté de ton sexe… humm… et de ton magnifique cul de pucelle. Oui, c’est ça, tourne toi et montre le moi bien ma puce. Il est superbe ton petit cul ferme jamais exploré ! Accepte mes baisers sur ta croupe. Humm… elle est chaude ta croupe. Tu as le feu au cul ce soir, on dirait, petite chienne. »
« Je crois que je m’enflamme totalement ce soir, comme jamais je ne l’ai été avant. »
« Hum quel délice ce petit cul de pucelle en chaleur ! Ta peau est bien plus douce que celle des filles ! J’adore, ma puce ! »
« C’est génial de se faire embrasser les fesses avec une telle ferveur. Je brûle vraiment de désirs. »
« Je suis ton pompier ce soir, ma puce. Découvre maintenant ma belle lance. Amuses-toi avec comme tu veux. »
Je me suis agenouillé et je me suis laissé glisser entre ses puissantes jambes velues. Il les a bien écartées et a ouvert sa robe de jambes. Et là, j’ai vu un superbe monstre de virilité. Enorme comme je n’avais jamais vu. Droite et épaisse sur un pubis noir pas trop touffu, avec des couilles brunes immenses.
« C’est certain que toi tu es un mec ! Un vrai ! Un super mâle ! Un taureau même ! Avec un outil pareil tu mérites plus que le respect… »
« La vénération tu veux dire, ma puce ? »
« Oh oui ! Tu es un dieu de la virilité ! »
« Ton maître, pourquoi pas. Honore ma queue alors. Sois ma petite servante dévouée ce soir au service de mon plaisir. »
« Bien maître ! Je suis votre élève.»
« Oui. Elève obéissante et docile, j’exige. »
Agenouillé devant son bel engin ma tête s’est penchée dessus. Une superbe odeur virile m’a envahie les narines. Extraordinaire. J’adorais ses nouvelles senteurs voluptueuses. Son gland aussi trempé que le mien appelait un tendre bisou de ma part, puis de bonnes lapées respectueuses.
« Suce-moi, petite esclave. Donne moi un max de plaisirs avec ta belle langue et ta bouche. Ca ne te dérange pas d’être ma petite suceuse de mon gros engin? »
« Oh non, hum… bien au contraire. »
« Alors vas-y ! Suce-moi avec application ».
Et je l’ai sucé avec amour même. Je découvrais chaque centimètre carré de sa majestueuse virilité avec ma langue et mes lèvres. Enivré par toutes ces nouvelles sensations. Sa main posée sur ma chevelure m’accompagnait dans mes mouvements de pipe ou de léchouille de long de son impressionnante tige.
Je gémissais de plaisir comme une nana et le lui donnais un max de sensations délicieuses avec mon inexpérience. Je lui dévorais la queue littéralement.
« Tu suces à merveille, ma pucelle. Lèche bien mes couilles, elles ont besoin de ta langue. »
J’y suis allé tête baissée, immédiatement. Le nez dessus, la langue qui jouait avec ses testicules, mes mains qui lui caressaient la queue. Les deux à côté n’arrivaient même pas au gland. Je craquais de bonheur sur ses grosses burnes bien brunes, au merveilleux goût de mâle. Je les dévorais littéralement sans retenue, follement excité, libéré de toute appréhension.
« Elles sont énormes tes couilles. Elles sont pleines à raz bord ! »
« Je pourrais te nourrir plusieurs fois cette nuit si cela te plait. »
« En tout cas, j’aime le goût de la peau de tes sacs à foutre »
« Reviens sur ma queue et avale la en entier, mon bébé ! »
« J’ai une petite bouche, tu le sais ça ? »
« Oui, mais gourmande à souhait elle va réussir à tout avaler. J’en suis certain. Essaie, ma puce. Tu vas y arriver et prendre ton pied en même temps. »
J’ai resucé son gland immense et baveux. Puis je me suis laissé m’enfoncer sur son majestueux pieu doucement, la bouche grande ouverte. Qu’est-ce qu’elle était grosse sa queue ! Je n’en voyais pas le bout et pourtant je glissais tout doucement vers sa base qui s’élargissait encore davantage. Une véritable bite de cheval qu’il avait ! Mais j’y suis arrivé, tout juste, mais bel et bien jusqu’à la base. Son gland était posé sur le fond de ma gorge. Quelques millimètres de plus et je vomissais. Mais là j’y étais arrivé sans nausées.
« Bravo ! Tu es une vraie gourmande, toi. Pompe moi le dard maintenant. Astique ma queue avec ta gueule d’ange et ton regard lubrique de salope ! »
J’y suis allé progressivement et cela me demandait de gros efforts de concentration. Il le remarquait de son côté mais il maintenait sa ferme demande.
« Pompe moi bien la bite, petite soumise. Tu es très douée, ma chérie. »
Il gémissait de bonheur, dans des râles graves aux sons mélodieux. Cela m’encourageait à poursuivre mes efforts de bouffeuse de bites. Je commençais à éprouver du plaisir dans cette situation où j’avais la bouche pleine de sa chaire ferme et épaisse.
Sa main m’aidait à redescendre vers la base de sa queue. J’aimais sentir cette mâle pression sur ma tête. Le plaisir étant là j’anticipais même la descente par rapport à lui par moments.
« Encore ma chérie ! Tu es la seule à avoir réussir cet exploit sans pleurer ou me vomir dessus. Tu es merveilleuse. Pompe moi mon dard, petite abeille ! Tu es une sacrée butineuse, toi ! »
Et je m’appliquais avec délectation sur cette noble tâche. J’étais l’unique bouche qui parvenait à lui prodiguer ce plaisir. J’en étais très fier. Je voulais être encore plus à la hauteur de ses espérances. J’étais alors l’une des meilleures bouffeuse de bites de Paris capable d’avaler un aussi gros calibre. Quelques mois auparavant, je n’aurai jamais imaginé d’être dans une telle position !
Il gémissait de plus en plus fort. Il s’est tendu de tout son corps et alors que j’étais pleinement rempli, il a giclé cinq énormes gorgées de sperme brûlant dans un long râle de plaisir.
Ce fut un réflexe, j’ai commencé à avaler son épais foutre tout en me dégageant un peu la bouche de sa queue frémissante. Et j’ai tout de suite adoré le goût de sa jouissance laiteuse. J’ai dégusté son nectar en veillant à ne pas en perdre une goutte. Je lui ai bien nettoyé la queue sous son regard ravi de me voir ainsi gourmande.
« Humm, c’est divin ma puce. Lave moi bien la queue. Déguste mon bon foutre. Tu l’aimes ? »
« Je l’adore, Bruno. Il est bien meilleur que le mien. »
« Tu auras du rab tout à l’heure, promis, ma puce. Lave bien ma queue et mes couilles avec ta bouche. »
A cet instant est revenu son cousin. Il est entré directement dans l’appartement. Bruno m’a maintenu fermement la tête sur sa queue.
« T’inquiète pas, c’est mon cousin. Termine ma toilette, ma puce. »
Je terminais alors tranquillement la toilette de son impressionnant braquemart qui se ramollissait tout doucement, mais qui restait d’une longueur et d’une grosseur incroyable. Son prépuce revenait régulièrement pour couvrir son beau gland. Je jouais tendrement avec lui.
Son cousin s’est assis à côté de nous sur le canapé et me regardait faire.
« Salut cousin, je te présente mon Olive, une jeune pucelle rencontrée sur le net. »
Je ne pouvais toujours pas relever la tête pour regarder son cousin.
« C’est sa première pipe et mon Olive a réussi à tout pomper jusqu’au sperme, sans aucune nausée. Une bouche active et gourmande comme on aime toi et moi ! »
« Tu crois que ta belle Olive voudrait bien me faire aussi une petite pipe ? J’ai pas dégotté de passives potables ce soir, contrairement à toi. »
« Mon jeune puceau n’a pas encore joui, il a peut être encore assez d’énergie pour te faire plaisir. Tu es d’accord, mon Olive, pour sucer mon cousin Michel ? »
J’ai pu alors relever la tête et j’ai découvert Michel qui était également un très bel homme, blond foncé et à belle carrure, la jeune trentaine.
« Je ne le savais pas jusqu’à ce soir mais j’adore sucer la bite d’un mec ! Et je kiffe trop celle de Bruno. Je veux bien goûter à une seconde queue. »
« Alors viens entre mes jambes en tortillant le cul, petite Olive ! Et défais ma braguette. Oui c’est ça. Sers toi à pleines mains, Olive. Déploies la moi bien ! Elle est heureuse d’être devant une si belle bouche ce soir ! Regarde comme elle se fait belle devant toi, petite Olive ! Elle attend tes caresses et tes baisers. Humm, elle a envie de se faire bouffer toute crue ! Oh oui ! Régale-toi, ma salope ! »
La sienne était un peu moins impressionnante que celle de son cousin. Mais elle était très belle et divinement bien proportionnée.
« Tiens, je te prépare un verre de cognac pendant que ma petite gourmande te sirote la tige. »
Et je l’ai dégusté avec grand plaisir, longuement également. Il sentait très fort de la bite et cela me ravissait. Je jouais aussi avec ses boules plus petites et plus dures. J’étais heureux. Michel dégustait son cognac avec ma bouche s’agitant et s’extasiant sur sa queue. Ma langue aspirait sa mouille abondante au goût envoûtant.
Bruno s’était assis sur la table basse et me caressait le cul pendant que je m’activais sur la virilité érigée de Michel.
« C’est beau un cul de puceau, bien serré et innocent comme le sien. »
Mon cul réagissait bien à ses caresses et cherchait malgré lui le contact avec la paume de ses mains.
« Cousin, tu vas avoir le privilège de le pénétrer le premier pour l’élargir en douceur. Cela te dit ? »
Bien entendu, Michel était enchanté par cette proposition.

« Viens dans ma chambre, on sera mieux installé, ma chérie. »
« Oui, Bruno. Je te suis. »
On s’est relevé. Bruno m’a pris dans ses bras comme une jeune mariée et m’a embarqué dans sa chambre. Ma queue était raide. Il me l’a embrassé tout doucement.
« Veux-tu être notre femelle cette nuit, ma chérie ? »
« Oui, je le veux. Face à votre virilité, je ne peux que m’incliner pour mieux l’accueillir au fond de mon intimité. »
Il m’a délicatement siroté le gland puis posé sur son lit, en me mettant sur le dos. Il m’a écarté les jambes et m’a relevé le cul offert ainsi à sa bouche qui s’est posée sur ma raie. Il s’est entrepris alors à me bouffer longuement le cul, encore vierge de toute léchouille et pénétration.
Michel, une fois à poil, est monté à 4 pattes sur le lit et s’est assis sur mon torse, pour basculer vers ma tête, me présentant ainsi sa queue droite à ma bouche. Il s’est mis à limer la gueule. Je tenais ma bouche bien ouverte en tendant mes lèvres. Puis Bruno me fit un doigté avec un puis deux doigts trempés de salive.

Je leur ai déclamé mon envie et mon accord qu’ils me prennent pour leur femelle ce soir là, dès je pus avoir la bouche libéré du sexe de Michel.
« C’est vrai que c’est bon de se faire bouffer le cul et limer la bouche en même temps, j’adore. Je suis heureux de me donner à vous deux ce soir... mes hommes… mes vrais mâles. »
« Heureux ou heureuse, ma chérie ? » m’a demandé Bruno.
« Heureuse oui, je le suis. Oui, j’ai envie que tu me bourres le cul avec ta grosse queue, dieu de la virilité absolue. »
« Mais avant c’est Michel qui va t’élargir le cul avec sa queue un peu plus fine que la mienne. Tu ne souffriras pas du tout ainsi. Tu n’auras que du plaisir ce soir pour ton décapsulage anal. »
« Se faire dépuceler par deux mecs, on peut dire que tu as de la chance, petites couilles ! »
« Mets-toi à quatre pattes, comme une bonne chienne. Montre nous ta belle chatte en chaleur ! »
« Ecarte les jambes que je me mette bien derrière ton petit cul brûlant. »
Bruno est passé de l’autre côté du grand lit pour s’agenouiller devant moi et me présenter sa queue qui avait repris du poil de la bête.
« Suce moi, petite chienne ! »
J’ai senti le gland de Michel se poser sur ma rondelle conciliante qui s’est élargie et ouverte aisément comme une fleur. Il s’est enfoncé en moi délicatement. Ca a glissé tout doucement et facilement, sans douleurs, à ma grande surprise.
« Tu aimes, petite chérie ? »
« Moui moui ! Che génial ! Humm… moui ! »
« Tu as dégotté une superbe petite salope ! J’adore les jeunes majeurs fraîchement reconvertis ! On a l’impression qu’ils ont des années à rattraper en une seule nuit ! »
« Notre petite Olive est adorable et docile à souhaits ! »
« Je suis sûr qu’elle a envie de se faire bourrer le cul à donf ! »
« C’est évident ! Il faut qu’on soit à la hauteur de cette bonne chienne ! »
Il s’est mis à me limer de plus en plus rapidement puis violemment. J’en rougissais de plaisir et mes gémissements devinrent des cris de plaisir hyper aigus.
« Elle adore se faire défoncer la rondelle, cette bonne salope ! Vas-y cousin ! Bourre là à fond ! Elle en redemande ! »
« Oh oui ! Bourrez moi à fond le cul. C’est trop bon ! Je suis une vraie salope ! C’est bien moi la femelle en chaleur ! Je t’en supplie ! Défoncez moi le cul et la bouche avec vos belles bites ! Salopez moi à fond ! »
« Oh oui ! Reprends ma queue en bouche pour que je te lime bien la gueule en même temps ! »
« J’aime ton gros gland, mon Bruno ! »
Michel se défonçait de toutes ses forces sur mon cul, ce qui rythmait la possession de ma bouche par ricochet à ses coups de bite. Soudainement il explosa dans mon fion, m’inondant les intestins de son foutre brûlant. Sublime sensation qui me fit jouir sur les draps de mon amant sans n’avoir pu me toucher la pine. Il resta immobile dans mon cul pendant une bonne minute, reprenant son souffle et ses esprits.
Puis il se retira : superbe sensation également. Il alla se rincer la queue dans la salle de bain.
« Tu lui as fait un sacré effet à mon cousin. C’est la première fois que je le vois jouir à donf. Tu es un sacré bon coup, ma chérie. »
« Merci. Bruno, j’ai envie d’être traitée comme une bonne femme ce soir. Prends comme si j’en étais une. »
« Tu veux dire en missionnaire, ma chérie ? »
« Oui. Je t’en supplie. »
« Tu as bien méritée que je te fasse ce plaisir, ma poule. »
Michel est revenu et s’est assis sur le lit, le dos posé sur le mur. Bruno m’a retourné et posé sur le dos de façon à ce que je sois entre les jambes de son cousin, le dos sur son bas-ventre. Michel me caressait alors le torse et les tétons, pendant que Bruno me relevait les cuisses pour dévoiler mon anus béatement ouvert à son impressionnante queue. Celle-ci s’est plongée dans mon cul avec une déconcertante facilité, tant j’étais si bien préparé précédemment par les assauts de Michel.
Il m’a limé avec amour, comme si j’étais sa femme, faisant passer mes mollets sur ses épaules. Il me regardait dans les yeux avec douceur et je voyais aussi son pieu investir joyeusement mon cul. J’ai rebandé d’aise et Michel entreprit de me branler doucement pendant que Bruno me limait de tout son long, baignant dans le foutre encore chaud de son cousin. Les bruits des muqueuses humides et trempées nous excitaient follement.
« C’est merveilleux, Bruno. J’adore. »
« Tu es très souple et accueillante, ma pucelle. C’est donc facile de te donner du plaisir. Nous n’avons aucun mérite. »
« Je t’aime, Bruno. »
« Tu es heureuse, ma chérie. C’est formidable. »
Dix minutes plus tard il jouissait en moi et je giclais violemment dans la main de Michel et sur le torse de Bruno.
Rompus par toutes ces folies de nos corps, nous nous sommes endormis les uns sur les autres. On ne s’est réveillé que le lendemain matin, enchantés de cette folle nuit.
Les draps étaient souillés par tous ces fluides largués. Nous en étions tous les trois très fiers.

« Je vais vous préparer le petit dej à tous les 2. » proposa le cousin.
On s’est levé et sommes allés dans la salle de bains pour prendre une bonne douche. Une fois bien savonnés, la queue de Bruno s’est raidie de désirs. Un de ses doigts savonneux s’est aventuré dans mon fondement pour vérifier l’ouverture possible pour une nouvelle intrusion. Les portes étaient bien ouvertes. Il m’a fait posé les mains sur le mur carrelé et fait écarter les jambes, ainsi que tendre vers lui mon petit cul accueillant.
« Contrôle sanitaire, mademoiselle ! Je vais vérifier par moi-même si vous avez bien tout nettoyé ce matin. Le gouvernement ne tolère aucun laissé aller avec l’hygiène de nos jours ! Voilà, oui ! Tendez bien vos fesses au contrôle. Je vais sonder votre terrain doucement mais sûrement, mademoiselle. »
« Je veux être en règle, monsieur l’agent ! Prenez le temps nécessaire pour tout vérifier. »
« Je vous présente déjà ma tête chercheuse, mademoiselle. Pas d’encombre de votre côté ? »
« Hum… non, ça se passe à merveille. Elle peut venir fouiller plus loin dans tous les recoins de mon intimité. Ce n’est pas déplaisant, bien au contraire, monsieur l’agent. »
« Votre collaboration vous met à l’honneur, mademoiselle. Ah ! Si toutes les citoyennes de ce pays étaient comme vous ! Mon métier serait plus simple ! »
« Je sens les merveilles de votre superbe contrôle. J’aime sentir la fermeté de vos mains sur ma croupe. Ah ! Votre thermomètre me comble d’aise. Je sens mon volcan en ébullition, monsieur l’agent ! »
« Je vais vous soulagez, mademoiselle, tout de suite. Je vais vous appliquer un massage maison, dont vous me donnerez des nouvelles ensuite ! »
« Oh oui ! Quel doigté avec votre matraque, monsieur l’agent ! Je suis sous votre entière autorité. Ah oui ! oui ! oui ! Vous me rendez folle ! »
« Quel plaisir de vous investiguer, petite demoiselle ! Humm… bien en profondeur ! Oui, encore plus loin, là, super, je vérifie votre entrée… je reviens vers le fond de votre domicile ! Humm… putain ! que c’est bon de te limer à fond, ma salope !!! »
« Sous la douche ! Trop top ! Encule moi encore plus fort monsieur l’agent ! »
« A ton service, petite demoiselle ! Prends ça dans le cul ! »
Je criais de plaisir sous les assauts de mon initiateur. Quel talent ! Je ne pouvais pas m’en passer. On était samedi matin et le week-end ne faisait que commençait ensemble. Dans quel état j’allais rentrer chez moi ? Il a fini par jouir au plus profond de mon cul et m’a foutu a genoux devant sa queue.
« Regarde si tu vois encore des traces noires de ta cave d’amour sur ma matraque ! »
« Elle est nickel ! »
« Alors suce la et avale les dernières gouttes de mon plaisir, ma puce ! »
Je me suis exécuté. Je sentais s’écouler le foutre chaud de mon cul ainsi accroupi devant mon amant.
[b]

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MessageSujet: Re: Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée   Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée Icon_minitimeVen 7 Jan 2011 - 15:01

Sorry, Nathan, je n'avais pas encore découvert cette belle "confession", que tu avais placée par erreur sur la page-perso de notre ami Colaps !

Mais ce n'est pas grave : je l'ai déplacée dans "confessionnal", où elle me semble à sa place, puisque une histoire de puceau et de "première fois"...

J'espère que tu t'exprimeras encore pour nous ?
Tu écris super bien : c'est très excitant, et on bande raide en te lisant !

A te lire à nouveau bientôt ?

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MessageSujet: Re: Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée   Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée Icon_minitimeDim 23 Jan 2011 - 22:54

Waw, moi non plus j'avais pas lu ça !
Super dément ton histoire !
Merci du partage, et bisous de Tony
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MessageSujet: Re: Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée   Mon initiation par un homme, telle que je l'ai rêvée Icon_minitime

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