Mes mains redécouvraient par lui l’anatomie humaine dans toute la splendeur de ce touché sensoriel qui soulevait mon sexe d’un bandage extasiant, sa peau glabre et laiteuse, le parfum de sa chair tous ces sens me guidaient vers un suprême plaisir.
D’une cascade de baisers sulfureux ma bouche vint cueillir ses tétons aux larges rosettes, de lèches tendres je fini par les mordiller, dans ce jeu taquin, ils durcissaient, son corps se cambrait, ondulant de jouissance.
Comme ce parcourt était beau ! Comme je brûlai de passion pour cette offrande, pour ce don de lui.
Quand mon visage gravita autour de sa virilité, mon esprit tanguait comme une barque sur les vagues d’une mer agitée du vent de ma passion, ma main s’agrippa au mat de cette embarcation, ce bois lisse coulissait entre mes doigts et devenait soudain mon ancrage sur cette barge.
Comme cette traversée s’annonçait belle.