Lorsqu'il se réveille, Marc éprouve quelque mal à réaliser qu'il est sur le lit de ses oncle et tante, qu'il se trouve complètement nu nu et qu'avant son sommeil, il avait joui pour la première fois dans le sexe d'une femme, en l'occurrence "tantine".
Se penchanr pour retrouver ses vêtements, il est attiré par la culotte de Mathilde, s' en saisit et la frotte contre son visage, s'enivre aux humeurs d'un musc inconnu, âcre, mais terriblement envoûtant.
Après une douche, en peignoir de coton blanc et savates, il rejoint sa partenaire de l'heure précédente à la cuisine et la trouve super-désirable, enveloppée qu'elle est dans un déshabillé noir qui, loin de cacher ses formes; les met en valeur.
"Oh déja-la, petit amour", s'exclame Mathilde avec un bo-sourire, ravie de se sentir "matée" par le jeune homme.dont l'érection commence à bien se révéler sous la cotonnade de son linge.
Elle invite Marc à mettre le couvert tandis qu'elle prépare une omelette aux champignons de la cueillette du jour et, vicieuse, n'hésite pas à frôler le garçon, à lui faire des bisous dans le cou et à intropdure quelques secondes une des mains du petit gars dans l'échancrure de la soie sexy qui la recouvre.
Durant le dîner, la conversation semble anodine .... même s'il est fait état de la déclaration des hostilités, mais la coquine sait se pencher au-dessus de son couvert pour donner tout loisir de contempler ses superbes seins en poires.
Parfois, elle tend le pied et le glisse sous le coton du peignoir ..... histoire de vérifier que l'adolescent bande toujours.
Le repas achevé, Mathilde se rend au séjour pour déguster une tisane Installée dans un "Voltaire" faisant face à une belle cheminée de campagne, elle invite son neveu à venir s'asseoir sur ses talons au-devant d'elle et, écartant les pans de son déshabillé, expose à la convoitise de Marc sa chatte aux lèvres pourpre et à la toison, aussi sombre que bouclée.
Tout en buvant à petites gorgées, elle susurre :
"Chéri, fais frisonner ma foufoune" et le "chéri," qui n'attendait que cet invite, passe doucement ses doigts sur le con déja bien humide, le fouille et se réjouit tant des sensations ressenties que des râles et onomatopées de sa maitresse : "Oh ouiiiiui,
continue - C'est bon - Encore, encore".