Mathilde sait bien qu'il ne faut pas précipiter les évènementss et initier trop vite le puceau à des pratiques vicieuses.
C'est déjà merveilleux d'avoir pu attirer Marc dans son lit et constater qu'il avait, de lui-même, retiré son slip avant de se glisser sous la courtepointe.
Entrelaçant ses jambes avec celles du garçon, elle l'enserre, sent avec délices le sexe de son partenaire palpiter contre sa chatte humide, leurs poitrines accolées vibrer intensément , hume avec bonheur les odeurs épicées d'un gars à peine revenu d'un promenade/cueillette de champignons dans es bois
Prenant la tête juvénile entre ses mains, elle mumure :
"Ouvre la bouche, mon Chéri, je vais t'apprendre à embrasser comme des amoureux"
Obéissant et intrigué, Marc s'exécute et Mathilde passe sa langue entre les lèvres de son amant en devenir.
Hummm, quelle découverte pour l'un et l'autre!!! :
le charme, pour la femme, de s'infiltrer dans un palais aux saveurs fraîches et,
pour l'autre, de s'adonner à la volupté d'un baiser tendre.
Les deux corps frissonnent et la bite frémit, bave contre le vagin dégoulinant de mouille.
Une main de la Dame, glisse sur le dos de Marc et, sous la couette, atteint des fesses adorablement douces au toucher et d'une sensibilté qui réjouit Mahilde, lui fait songer que, plus tard, Jean sera heureux de caliner les globes de son neveu et sans doute, de les préparer à la sodomie.
D'un geste des mains, elle incite Marc à monter sur son "recto", à la chevaucher et, de doigts habiles, elle saisit la hampe qui caresse son bas-ventre pour l'introduire en elle.
"Oh ouiiii", dit-elle, "fais-moi l'amour comme un homme".
Et pressant ses mains sur la jeune croupe, elle mène une danse que, rapidement excité, l'adolescent se met à co-conduire.
Le couple entre en transes et, de part et d'autre, des râles interrompent les embrassades et le silence de la pièce.
Mathilde et Marc se déhanchent et les mouvements du coït s'accélèrent/
La tante-initiatrice lance son "Viens".
Alors, dans un double cri, éjaculation et orgasme éclatent simultanément.
Durant quelques secondes,Mathilde maintient Marc en et sur elle.
Puis elle le laisse s'affaler sur le lit, éperdu, un peu gêné par tout ce qui vient de se passer.
Après un bisou sur le front de l'adolescent, Mathilde se lève et murmure gentiment : "Dors un peu, je t'appellerai pour le dîner" ..... ensuite de quoi, elle quitte lentement la chambre en toute conscience d'offrir la nudite de son verso.