Après avoir posé sa tasse, vide d'infusion, Mathilde presse de ses mains la tête de Marc, la bloque entre ses cuisses et dit :
"Embrasse ma chatoune".
Se souvenant du plaisir ressenti à avoir, quelques instants plus tôt, inhalé les arômes de la culotte "mathildienne", l'adolescent ne se fait pas prier et passe sa langue sur les lèvres si tentantes, l'introduit dans une intimité qu'il croyait interdite à un tel jeu.
Une mouille abondante envahit le palais du lécheur, les râles et criailleries de Mathilde reprennent de plus belle et ses seins palpitent sous les mains du garçon devenu entreprenant.
Abandonnée à son homme du soir, la Dame entre en transes :
sa tête se contorsionne sur le dossier du "Voltaire" et son corps tout entier vibre de plaisir.
Tantine se déhanche pour ressentir plus profondément la lime linguale de son tout nouvel amant.
Puis elle pousse un cri, éructe un "Maaarrrccc" en vidant les effluves de son orgasme dans la gorge de son neveu.
Après une ou deux minutes de récupération, Mathilde décide d'inverser les rôles et demande à Marc de retirer son peignoir et de prendre place sur le "Voltaire";
Désormais; c'est elle qui est assise sur ses talons entre des cuisses finement musclées et imberbes.
C'est elle qui palpe et caresse les trésors du bas-ventre de son partenaire, essuie la bave du gland, contourne la hampe tressaillante, puis l'apire lentement entre ses lèvres.
Elle suce, puis pompe le Collégien,
titille digitalement ses tétons sensibles,
le sent frémir de partout,
l'entend avec délices gémir sans retenue,
se fait adorablement dépeigner par les mains de son "fellaté".
Quant il jouit par secousses, elle se délecte d'un jus moins dense que celui de Jean, son mari, et des hommes que, parfois, elle rencontre avec lui .... mais, tout de même, apprécie grandement cette sève juvénile au goût acidulé.
Lorsque Marc est revenu de ses émotions, Mathilde lui prend la main et le conduit à nouveau dans sa chambre en lui disant :
"Viens, nous allons dormir ensemble".