Luc se donne, s'abandonne rapidement au baiser initié par Philippe.
Alors qu'auparavant, il était demeuré passif dans ce genre d'exercice, il sait désormais bien
méler sa langue à celle de son ami,
pénétrer lingualement sa gorge et,
pour accorder plus d'intensité, d'union au jeu de bouches,
prendre dans ses mains la tête de Philippe qui, quant à lui, garde toujurs ses paumes sur les joues de Luc.
Lorsque, sans cesser les embrassades, Philippe entreprend de déboutonner la chemisette de son hôte, celui-ci se met à bander davantage encore dans son short, à frémir de tout le corps ... bien que son torse ne soit pas - pas encore tout du moins, - palpé et léché.
Mais le seul fait d'être déshabillé ainsi, de se sentir désiré, de savoir que l'on va être délicieusement effleuré, pincé, mordillé, titillé .... ....
toute cette ambiance, cette perspective de la relation physique, ces préliminaires de l'amour excitent Luc et le sortent de la torpeur qui le paralysait quelques minutes auparavant.
Dans son pantalon de toile, Philippe trique tout autant que son voisin et s'émeut d'une participation maintenant active de celui-ci à leur embrasement.
Il bafouille même un "Oh oui" quand Luc se met à défaire maladroitementr les boutons de sa liquette blanche.
.
Les chemises tombent sur le canapé,
les poitrines nues se jouxtent quelques instants,
les mains descendent des visages aux dos et reins,
quelques soupirs d'aise commencent à surgir entre ls lèvres toujours unies de chacun.
PHilippe s'écarte un peu dans l'intention de se courber devant son ami et de faire durcir ses tétons avec ses doigts et sa bouche.
Mais il est arrêté par Luc dans son élan.
Le bo-quadra-Docteur-Psyhologue n'a pas le temps de paniquer et de songer à un éventuel blocage de son compagnon :
celui, en effet, lui prend virilement la main afin que tous deux s'extirpent du canapé.
Escorté par Phliuc-minet, Luc entraîne son visiteur du soi rà l'autre bout de l'appartement,
là ou, dans une alcôve, se trouve le lit.