Philippe part vite en adoration devant la queue de Luc et la vénère en lapant son gland, en enroulant sa langue autour de la belle hampe, en gobant doucement l'une après l'autre les couilles fermes et imberbes.
Il le fait avec un art conommé dont son ami apprécie grandemnt les effets.
Luc est aux anges, halète des gémissements, brasse les cheveux de son fellateur et pense que jamais, vraiment jamais, les femmes de ses rencontres ou Mélanie, son "ex", ne l'ont sucé aussi bien.
Quelle différence entre les "pompes" goulues, parfois douloureuses à recevoir, des "nanas" et l'extraodinaire jeu de bouche dont il est maintenant le bienheureux bénéficiaire !!!!!.
Quand il ne perd pas la raison tant son bonheur est grand, Luc pense qu'il a bien fait de se convertir à l'homme et d'offrir son corps au cher Philippe.
Il songe également que, si ce dernier prend tellement son pied à se délecter sur son "trois-pièces", c'est que lui aussi pourrait trouver de belles sensations à goûter aux saveurs d'une bite et de ses pendentifs.
Mais, pour l'heure, Luc continue de s'abandonner aux lèvres de Philippe,
lèvres qui enserrent désormais son gland et, lentement, aspirent les 18X4, finalement de dimensions idéales pour pouvoir tout avaler sans être pris d'étouffements.
Super excité, Luc ondule des hanches, presse ses mains sur la tête.de son suceur, lime sa gorge . Sentant son jus monter, il devine que Philippe ne rechignera pas à l'avaler - contrairement à la Mélanie qui détestait ce breuvage..
Or, Philippe est un gourmet de sperme et se désaltère avec joie au suc de son compagnon, à cette crème dont il savoure l'arôme légèrement salée : il boit la coupe jusqu'à la lie.
La délicieuse source étant tarie, Phlippe dépose un baiser sur le sexe qui lui a donné un tel nectar,
Puis, remontant sur le lit, il se couche sur son ami, se déhanche sur ses cuisses, frotte sa queue, la branle contre celle de Luc, et ne tarde pas à inonder son ventre.
S'il adore le foutre de ses partenaires, Philippe n'est pas dégoûté par le sien et s'empresse de nettoyer le corps de Luc à grands coups de langue,
S'allongeant sur le côté Il prend son amant Luc dans ses bras, mais hésite à l'embrasser.... ccraignant que l'apprenti en homosexualité ne soit pas disposé à découvrir les saveurs de jouissances.
A son ravissement, c'est Luc qui prend l'initative de l'embrassade et pose ses lèvres sur celles enneigées de son Professeur en amours masculines.