Frusquinius était puceau.
Toutefois, dans ses rêves érotiques, il avait des images de tendresse, de sensualité, de gestes lascifs.
Certes, ses songes étaient hétéro mais là, dans le cadre du Palais impérial, son obligation de satisfaire la sexualité d'un homme ne l'effraya pas.
Il éprouva même du plaisir à lécher des tétons masculins, à les faire frémir et durcir lingualement ... d'autant qu'aux réactions de son partenaire il comprit vite que sa manière d'agir était très heureusement perçue.
Sans cesser de téter le potentat aux anges, Frusquinius acheva d'ouvrir son peplum,
caressa son ventre plat,
passa des doigts dans sa fourrure pubienne et
contempla le sceptre de Sa Majesté, son gland turgescent et la rosée qui s'en dégageait.
"Suce-moi bien" dit Constantin.
"Je ne sais pas si tu a déjà forniqué avec des hommes, mais tu es bien meilleur que les gars .qui t'ont précédé ici et que j'ai fait reconduire au Colisée pour la pâtée des lions".
Alors, le jeune prisonnier descendit lentement son visage vers le bas-ventre du César,
lapa pour la première fois une mouille à l'amertume de laquelle il se fit,
enroula sa langue autour de la hampe vibrante, puis l'aspira en douceur.
"Oh ouii, continue", scanda Constantin entre deux gémissements.
"Palpe mes boules", ce que l'adolescent s'empressa de faire avec délicatesse.
Sentant sa sève monter, le Maître de ROME tira sur les cheveux de Frusquinius pour l'inviter à relever la tête.
Puis, il lui ordonna d'aller se metre à genoux devant un pouf, poitrine couchée sur le tissu.
C'est ainsi que le garçon sentit la douleur d'une initiation à la sodomie .... une douleur moins vive que celle qu'il avait imaginée et qui, surtout, disparut assez rapidement.