2) Le GRACIEUX GRACIé
Sentant sa douleur anale disparaître peu à peu, Frusquinius songea qu'il convenait d'en profiter et,
au lieu de se faire embrocher docilement, passivement, par Constantin, de le branler en lui par la pression des fesses sur sa bite.
Il commença donc à onduler et à diriger ainsi la lime impériale.
Même s'il en souffrit à quelques reprises, le jeune captif ne put que se réjouir d'une initiative qui parut ravir son enculeur.
"Oh ouiii", s'exclama ce dernier, "tu sais me faire du bien, ne pas être comme tes prédécesseurs, ces petits culs serrés que j'étais contraint de forcer, de violer, en entendant leurs cris".
Enhardi par ces propos, Frusquinius osa susurrer :
"Seigneur, voulez-vous que je mette sur le dos. Comme ça, je pourrai contempler votre plaisir et vous verrez le mien".
Agréablement surpris, le César laissa son prisonnier se retourner, lever les jambes et lui offrir son antre ... après quoi il le saillt à nouveau.
L'anus désormais bien assoupli, Frusquinius accueillit sans mal cette deuxième pénétration, l'encouragea même par des gémissements de bonheur et tendit les bras pour pinçôter les tétons sensibles du Maître de ROME.
Bandant à nouveau, il vibra sous la main masturbatoire de son sodomisateur.
Très excités, les deux hommes râlèrent en chorus et Constantin se vida dans les entrailles de l'adolescent dès qu'il le vit gicler sur leurs deux torses.
Hébétée, Sa Majesté mit du temps à se ressaisir et à sortir du canal dans lequel il s'était répandu, puis murmura :
"Tu sais Frusquinius, je n'ai jamais fait l'amour aussi bien. Il ne m'est pas encore arrivé de dormir avec un mec. Mais toi, je te veux pour la nuit".
Le jeune homme sut alors que la partie était quasi- gagnée et qu'à poursuivre son oeuvre de séduction, il n'aurait pas à retrouver les géoles du Colisée.