Alors qu'ils avaient regagné la couche impériale, Frusquinius sut caliner Constantin, le lécher sur tout le corps, lui faire découvrir la sensibilité insoupçonnée de ses fesses, le sucer avec volupté, et, finalement, le faire jouir en bouche.
Le lendemain matin, très ébranlé par les évènements de la veille, l'Empereur demanda à ses gardes d'installer le jeune homme dans une chambre confortable et mitoyenne de la sienne,
de lui servir des mets fins et
de le conduire souvent dans une partie isolée du parc de son Palais afin que le garçon y bronzât intégralement.
Le soir et les suivants, les deux hommes se retrouvèrent sur le même lit et le très actif César put se régaler d'un adolescent devenu très "cho" du cul, adorant se faire limer dans toutes les positions et s'empaler sur la superbe bite de son Seigneur.
Mais au fil des rencontres, Constantin prit également goût à la sensualité partagée.
Il s'initia avec grand plaisir à l'échange de caresses, aux charmes des fellations et cunilinguismes donnés/reçus ... et, davantage encore, aux baisers langoureux.
Un courant très affectif naquit ainsi et le César s'éprit peu à peu, mais follement, de son captif.
Partenaires au départ, Constantin et Frusquinius devinrent amants ..... au point que ce dernier fut autorisé à circuler librement dans le château de son Maître et convié à le suivre dans tous ses déplacements
En bref, il n'y eut vite que du bonheur.