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Dans la nuit, je ne sais si je rêve à des calins de Claude ou les vis réellement dans une demie inconscience. Toujours est-il que j'ai la merveilleuse sensation de lèvres et paumes qui se posent délicatement sur mon dos et le font frémir, de mains et d'une queue qui, par dessus le tissu de mon slip, caressent ma croupe.
Hummmm, que tout cela est agréable, même s'il ne s'agit que de songes !!!
Au réveil du matin, la réalité, la belle réalité, est bien là.
Allongé sur le côté, tête relevée et reposant sur un bras replié, Claude me sourit et me dit gentiment !
"Bonjour Hervé. Très en forme dirait-on"
Et, tendant son autre bras, il tâte la bosse super-gonflée de mon "blanc à poche".
Gêné, ne sachant que répondre, j'écarte cependant les cuisses por mieux m'offrir à la palpe.
Sensuelle, tendre, excitante, elle me fait vibrer, mouiller la cotonnade et oser balbutier :
"C'est bon ce que tu me fais".
Sans doute rassuré, sinon ravi, par mes réaction et mots, Claude murmure à son tour :
"Laisse-toi aller Hervé".
Puis, rejetant le drap, il fait glisser mon slip et le vire .... non sans la participation active de mes bassin et pieds levés.
Nous voila donc nus tous le deux, ce qui donne à chacun le plaisir de découvrir des queues semblables par leur 19X5 et la majesté de leur érection.
Mais la vision est fugace, car Claude se couche rapidement sur moi et se déhanche lascivement.
Nos bites se frottent délicieusement l'une contre l'autre et mèlent leur mouille.
Nous gémissons, joue contre joue, l'heure n'étant pas encore venue de s'embrasser sur la bouche.
Me prenant au jeu, j'ondule moi aussi et masse les fesses de mon ami, aussi fermes que sensibles.
La tension monte, nous devenons plus vifs dans nos mouvements et râlons de plus en plus fortement.
En "collégienne", Claude au-dessus et moi dessous, nous jouissons simultanément et abondamment entre nos ventres accolés.