Chapitre 42 - Monsieur Fabiano

Nos quatre garçons sont surpris par cette entrée subite du nouveau surveillant, Monsieur Fabiano, car ils avaient bien fermé leur porte au verrou, mais c'est comme dans des cabines de douches ou wc : cela peut s'ouvrir de l'extérieur si l'on possède un "passe" spécial, que tout surveillant doit avoir, évidemment...

Monsieur Fabiano entre, allume la lumière et referme la porte derrière lui :

- Alors, que se passe-t-il ici ? J'entendais des soupirs un peu bizarres depuis le couloir !
- Heu, dit Mario qui est fils d'ambassadeur et sait qu'il ne risque pas grand chose, vous voulez peut-être vous joindre à nous Monsieur Fabiano ?
- Dis-moi d'abord ce que tu fais dans le lit d'Yves... et avec Yves si je vois bien ?
- Ma foi, on avait froid dans notre chambre, et on a trouvé ce moyen-là pour se réchauffer : dormir à deux dans chaque lit !
- Tiens donc, mais quelle bonne idée vous avez eu là ! se moque le surveillant. Si j'ai froid dans mon lit, tu viendrais aussi me réchauffer ainsi ?
- Oh mais avec plaisir, Monsieur Fabiano, vous êtes bel homme et j'aime ça ! Eu te fodo quando você quiser ! (Je te baise quand tu veux !) ajoute-t-il en portugais pour Fabiano qui est Brésilien comme lui.

Monsieur Fabiano est, en effet, un beau grand jeune homme fort basané, danseur dans le Ballet de Namur, mais qui s'est fait engager ici comme surveillant à ses heures perdues car la vie d'artiste ne paie pas assez :

- Merci du compliment, mon gars, mais laisse-moi te dire que vous auriez intérêt à faire moins de bruit quand vous décidez de vous envoyer en l'air ! Si moi je vous ai entendus en passant, d'autres auraient pu vous entendre ! Faites gaffe quand même... E é quando você quiser, com certeza com prazer ! (Et c'est quand tu veux, certainement avec plaisir !)
- Eeh, parlez français, tous les deux, demande Phil, sinon on ne vous suit pas hein !
- Pas grave, rétorque Fabiano, entre pays, nous avons des choses à nous dire ! Terminar aqui rapidamente, Mario, e me encontrar no meu quarto ? (Termine rapidement ici, Mario, et rejoins-moi dans ma chambre ?).
- Ok meu lindo amigo, você não perde nada esperando ! (D'accord mon bel ami, tu ne perds rien pour attendre !)

Avec un sourire pour toute réponse, Monsieur Fabiano sort de la chambre, et on entend qu'il referme le verrou derrière lui comme pour protéger les garçons d'une autre intrusion.
Après un moment de stupeur, nos amis se regardent et se mettent à rire nerveusement :

- Ouf, j'ai eu bien peur ! fait Yves. Il va nous dénoncer demain, tu crois Mario ?
- Non, mon grand, t'inquiètes pas : il m'attend dans sa chambre pour... arranger les choses !
- Quoi ? fait Yves éberlué. Alors il serait du même bord que nous ?
- Bah oui, comme beaucoup de danseurs d'ailleurs, et il est de mon pays, alors je m'en occupe ! Mais dors maintenant, moi je vais aller le rejoindre pour être sûr qu'il se taise demain. Daniel, tu devrais peut-être rentrer dans notre chambre ?

Et Mario se lève lui-même, remets son pyjama, imité par Daniel, et tous les deux sortent, laissant Phil et Yves à leurs pénates.
Tandis que Daniel entre silencieuse ment dans sa chambre, Mario se rend à la chamdre du surveillant, au bout du couloir, et frappe à la porte doucement... et celle-ci s'ouvre aussitôt pour le laisser entrer.

- Entre Mario... (ils parlent portugais, mais je vous traduit directement leurs dires)
- Merci... Fabiano, si je peux me permettre ?
- Bien sûr ! Du moins quand nous sommes seuls, évidemment !

Le surveillant est en boxer, et Mario tend directement la main vers une belle bosse qui l'attire dans celui-ci :

- Mmmmh, tu as l'air bien monté, Fabiano !
- Sans doute comme toi, Mario ? Du moins d'après ce que j'ai pu apercevoir ?
- Je ne me plains pas... répond Mario en se déshabillant à nouveau. Ainsi, tu jugeras mieux !
- Mmmmh, tu es encore plus beau de près... répond Fabiano en enlaçant Mario et en l'embrassant aussitôt d'une manière assez torride, tout en le poussant vers son lit.

Dès lors, nos deux chauds brésiliens se prouvent l'un à l'autre qu'ils ne sont pas nés pour rien sous le soleil. Fabiano est assez foncé, plus basané que Mario, et a assurément du sang africain dans ses ancêtres. Mario lui descend le boxer pour juger de la pièce qu'il sent contre lui énorme, et se rend compte que, si lui-même est bien monté, Fabiano a un sexe quasi monstrueux de sans doute 22 à 25 cm au moins et assez épais.

- Waw, dis-moi, Fabiano, tu comptes me percer le cul avec ça ?
- Oui mon gars, mais rassures-toi, je prendrai le temps et les précautions qu'il faudra !
- Ouf, j'espère bien, car avec un tel engin, tu ne pux pas baiser n'importe qui ?!
- Non, mais toi, tu me sembles expérimenté, non ?
- Oui, t'inquiètes pas, j'en ai vues d'autres chez nous de ces monstres, tu ne seras pas le premier à me défoncer ! Vas-y doucement et ça ira... Moi j'ai déjà joui cette nuit, alors prends-moi tout de suite !
- Ok, mon gars, tu ne vas pas le regretter, t'inquiètes...

Et Fabiano se met tout de suite à l'ouvrage, bouffant le cul de Mario jusqu'à ce que celui-ci gémisse de plaisir, et là il lui introduit directement deux doigts, puis trois sans retard...

- Viens, Fab' je crois que je suis prêt, prends-moi doucement...
- Ok, Mario, je te prends en douceur... répond Fabiano en présentant son gland à une entrée qui s'ouvre comme une fleur sous sa poussée.

Il ne faut pas longtemps avant que Fabiano soit à mi-chemin, et comme Mario l'encourage toujours, il donne une poussée plus brusque, le faisant gémir, mais s'arrête, avant de poursuivre à nouveau lentement sa progression...

- Lààà... j'arrive au bout mon grand, tu as un cul d'enfer, et je vais t'en faire jouir comme jamais, tu vas voir !
- Jusque là, ça va, alors vas-y, montre-moi ce que tu sais faire ! provoque Mario.

Se sentant encouragé, Fabiano se met à pomper doucement le cul du bel adolescent et compatriote, lentement tout d'abord, puis sous les encouragements de son partenaire, de plus en plus vite, pour finir en ahanant un galop qui fait gémir fort le jeune Mario, qui semble jouir du cul comme jamais, pilonné par un Fabiano qui semble avoir trouvé là le partenaire qui lui fallait.
Bientôt, tous deux jouissent assez bruyamment, mais heureusement, la porte est bien hermétique, et quasi rien ne s'entend du couloir où un Phil curieux est venu écouter, l'oreille tout contre la porte pour profiter tout de même un peu de se qui se passe là.

Tandis que Phil rejoint sa chambre à pas de loup, Fabiano et Mario restent enlacés après cette chevauchée fantastique, qui les a laissés tous deux épuisés, surtout l'adolescent qui avait "déjà donné" en début de nuit avec Yves. Il se fait caresser par un Fabiano reconnaissant de cette performance : le recevoir tout entier, ce qui ne va pas chaque fois qu'il trouve un partenaire : celui-ci est vraiment à sa mesure, et il le lui susurre dans l'oreille :

- Mon beau Mario, tu es un amant merveilleux ! J'espère que tu me recevras encore souvent en toi, car nous semblons faits l'un pour l'autre, qu'en penses-tu ?
- Tu m'as fait jouir du cul comme jamais, Fabiano ! Je suis partant pour remettre ça quand tu veux !
- Ok, je vais te laisser aller dormir, mon beau, et on remettra ça la nuit prochaine, un peu plus tôt si tu veux ?
- Ok, à demain amigo !

Et les garçons se séparent pour un restant de nuit bien méritée !...