A la différence des autres pièces de l'appartement, ma chambre privilégie le moderne à l'ancien : ainsi du vaste lit recouvert de coussins aux couleurs variées.
Pierre me dépose sur cette couche, se redresse, me contemple avec quelque peu d'amiration et d'affection, puis retire son peignoir.
Le voila nu, si beau, si désirable.
Sa poitrine plus musclée que la mienne, ses épaules assez larges, son ventre plat et ses 2OX6 tendus font de lui un homme viril....
mais, à mon image, il porte aussi des traits plus féminins avec ses lèvres épaisses, son visage lisse, son torse imberbe.
Vraiment, nous nous ressemblons, lui et moi, et paraissons apparentés,
malgté la différence d'âge, ma toison plus claire que la sienne et mon sexe aux dimensions légèrement inférieures à celles qu'il arbore.
Ne me rejoignant pas immédiatement, il paraît prendre un malin plaisir à se rendre vers un fauteuiil Louis XV pour y déposer son linge et me présenter son verso, fier sans aucun doute d'exhiber sa belle chute de reins, ses fesses fermes et sa raie sombre, la superbe conservation de son corps.
Losqu'il se retourne vers moi alors que je balbutie un "oh" dispensant de tout autre compliment, je tends les bras pour l'accueillir. Il vient alors se lover contre moi.
Nnous nous accolons face à face, bouches à nouveau soudées, jambes entremélées, bras enserrant nos corps, mains plaquées sur nos reins, queues s'embrassant.
Sans nous détacher l'un de l'autre, nous roulons sur le drap, ivres de bonheur.
A un moment, Pierre profite de ce que je suis sur le dos pour me plaquer au-dessous de lui et me dire : ' Laisse-toi aller, petit amour, je veux découvrir ton corps, m'en imbiber, connaître toutes ses parties sensibles. Plus tard, tu me rendras la pareille si tu en as envie".
Alors allongé, tête reposant su un coussin,je m'offre sans retenue ni pudeur, fermant parfois les yeux pour mieux me donner et savourer davantage les douceurs prodiguées par mon amant.