Chapitre Deuxième : REPAS et NUIT de FIANCAILLES
Je ne sais si vous eûtes le privilège de vous trouver assis nu sur les genoux d'un homme mûr en tenue "bcbg" ... mais je conseille à toues les jeunes de provoquer une telle situation : elle est charmante, rassurante aussi comme protectrice, et tellement sensuelle.
Se faire materner ainsi en dégustant un bon whisky tient véritablement du "must". Et c"est cela que je connais, que je découvre avec émerveillement et qu'à l'avenir, je retruverai toujours avec un égal plaisir.
Tantôt, je suis jambes allongées sur le canape, sentant la bosse de Pierre se frotter contre mes fesses sensibles et agréablement chauffées par le lin de son pantalon, les doigts de sa main libre titillant mon gland et, entre deux gorgées de scotch, ses lèvres se posant sur les miennes.
Tantôt, je suis recroquevillé sur lui en foetus et sa paume caline alors ma croupe, la flatte.
Tout à ce bonheur, je ne parle pas et me contente d'écouter avec émotion les promesses/projets de mon amant. Il se dit sûr de "lendemains qui chantent", réjoui à l'idée de m'initier aux jeux de l'amour, à rompre avec moi tous nos tabous, à partager ensemble des aventures dont, assez novice encore, il ignore les bienfaits.
Nous en sommes là, attendris, amoureux, réveurs, si bien devant le feu de cheminée, lorsqu'Hi ouvre la porte donnant accès à la petite salle à manger et claironne : "Ces Messieurs sont servis".
Me levant, je commence à enfiler le peigoir enlevé par mon amant tandis que Mère-Grand me téléphonait ... mais il m'arrête aussi dans cet élan pudque : "Oh non, chéri, reste comme tu es. La nudité te va si bien".
Sur ce, il se déhabille, remet ses vêtemsnt les uns après les autres au serviteur aussi dévoué qu'impassible et, me prenant par la taille, me conduit vers la table du festin.