D'aucuns pensent qu'en amour, le 69 est la meilleure des positions, par le cumul de plaisirs, de partage sensuel et de l'érotisme qui résulte de ce tête-bêche sulfureux. Pour l'heure, je suis trop novice et ignorant de pratiques pour donner un avis sur ce point, mais je dois reconnaître que l'initiative de Pierre n'est pas pour me déplaire ni me laisser de marbre.
En premier lieu, je n'ai plus - pour faire vibrer le cops de mon ami - à me souvenir des jeux de mains et de bouche dont il usa si bien dans l'après-midi et que je repris, il y a quelues instants, sur ses aisselles, tétons, nombril et pieds.
Désormais je n'ai plus qu'à l'imiter dans l'immédiateté même de son action.
Je me complais ainsi à lécher sa mouille dans l'instant même qu'il lèche la mienne ... à cette différence entre nous deux que, pour ma part, je découvre une saveur inconnue jusqu'alors et que, comme quelques minutes auparavant pour la sueur de ses aisselles, je dois m'habituer a la légère acreté de cette sève avant d'en apprécier toutes les essences.
De même, c'est à la seconde qui suit sa démonstration sur ma queue, que j'apprends à contourner la sienne avec ma langue, à la faire palpiter sans précipiter son éjaculation.
C'est encore dans la foulée de ses baisers sur mes boules lisses que, pour la première fois, j'embrasse des couilles, les enduis de salive et les fais rouler l'une après l'autre entre mes lèvres.
Sans les leçons de mon professeur-guide et amant, je me serais sans doute engagé dans une fellation rapide et goulue dont je connaitrais plus tard tous les charmes, mais qui serait survenue trop tôt alors qu'épicuriens, nous désirons faire durer notre étreinte.
M'incitant à le suivre, Pierre plonge davantage la tête entre mon entre-jambes, écarte mes cuisses et entreprends de passer la langue dans ma raie, puis sur mon anneau.
Nous voila donc en 69 par le cul, entamant un cunilinguisme qui, de sa part, m'avait enthousiasmé dans l'après-midi, mais que je n'avais encore jamais pratiqué sur quiconque.
Et je suis émerveillé de trouver des sensations inattendues à dilater un anus souple, à enfoncer ma langue dans un antre accueillante, à la faire vibrer et mouiller ... sans compter, pour moi qui tient tant à satisfaire mon ami, ce bonheur le voir au comble du bonheur, de l'entendre pousser des râles encore supérieurs en intensité à ce que furent les miens, à le savoir totalement libéré et offert à mes lapes au point d'haleter des "Oh Ouiiii Chéri, continue. Fais jouir ma chatte avec ta bouche".
Super-excité, en transes, il se dégage de notre emprise commune et se met à 4 pattes sur le lit, tête sur un oreiller, cuisses écartées, mains presées sur ses fesses pour mieux offrir son trou.
Alors, sans qu'un mot suplémentaire soit échangé entre nous, je me couche sur le ventre derrière Pierre, joint mes paumes aux siennes pour mieux distendre ses globes fermes et ma langue s'enfonce alors dans son canal intime.