Prenant les initiatives de notre nouveaux ébats, je glisse - tête la première - sous la couette et frotte mes joues, mon nez, puis ma bouche contre les beaux atouts de mon Pierre. De son côté, il me rend la pareille, flattant notamment mon gland avec sa langue pour le faire ruissseler entre ses lèvres.
Nous prenons le temps d'explorer nos entre-jambes sans laisser la moindre partie de chair à l'abandon de nos doigts et langues. Nos toisons sont lubrifiées, nos couilles aspirées doucement, nos trous perforés de nos annulaires ou langues, évitant dans un premier temps de nous pomper et de provoquer des éjaculations précoces.
Cette fois-ci, le cunilingueur est mon amour. Il écarte mes fesses à pleines mains, puis ouvre mon anus en gardant deux doigts sur son bourrelet et sa langue s'enfonce, s'enfonce, s'enfonce en moi.
Pour me baiser davantage encore avec sa bouche, il soulève la couette, me saisit par les hanches afin que je me relève et m'asseois sur son visage,
Alors, comme lui lors de nos effusions précédentes, je me mets à râler de plaisir, à lancer des "Pierre ", à hocqueter des "Oh oui", des "je m'ouvre à vous", à répandre une mouille de plus en plus abondante sur son cou et son torse.
Dans le même temps, je le branle au même rythme que sa main s'active sur ma queue.
Un "Piiieeerrre" plus vibrant que les autres annonce l'explosion de mon être. J'inonde alors le torse et le ventre de mon amant tandis que, m'étant penché au-dessus de son bas-ventre, je reçois sur mon visage les fruits laiteux de sa passion.
Groggy et repus, nous passons vite et sagement sous la douche, avant de rejoindre mon lit et de nous endormir enlacés, ma tête sur le torse de Pierre.
Mais avant que nous sombrions dans le sommeil, celui me signale que, le lendemain, il partira assez tôt pour un rendez-vous professionnel dans le BUGEY et que, pour le rejoindre, je devrai prendre le train de 10 heures 39 pour descendre en gare de CULOZ une heure plus tard.