Hélène me fait revenir à la réalité alors, que dans le hall du manoir, j'étais coi face à elll en déshabillé noir vaporeux et à Elodie, sa compagne, allongée quelques mêtres plus loin, nue sur une terrasse.
La maîtresse de maison me tend une main à baiser et je suis heureux de montrer l' éducation bourgeoise que m'enseigna Grand-Mère. Mais, mes lèvres aussitot retirées des doigts de la Dame, celle ci défait la ceinture de son linge de soie et me dit :
"Embrasse mon antre d'Amour, Alexis. Elodie me fait cela en signe de bonjour et je te convie à l'imiter avant d'aller la saluer selon le même rituel".
Docile et plus curieux que véritablement enchanté par la consigne qui m'est donnée, je m'agenouille et sens les mains d'Hélène se plaquer sur mes cheveux pour pousser mon visage vers sa chatte enrobée d'une fourrure bouclée et sombre.
Moins de 24 heures auparavant, je faisais avec Pierre la découverte, tant désirée, de la fellation masculine et me voila en train de lécher une moule déjà bien humide, de faire vibrer un clito sous ma langue ... alors que je n'avais pas souhaité cela dans mes fantasmes.
De même qu'il m'avait fallu quelques secondes avant de m'habituer gustativement à la mouille de mon amant, de même je n'apprécie pas immédiatement celle vaginale de son épouse, l'acreté de ce musc. Toutefois, je trouve un plaisir quelque peu pervers à satisfaire les turpitudes d'une femme devenue lesbienne avec le jeune homme fondamentalement homo que je suis.
Avec Elodie c'est différent :
d'abord, je viens de faire connaissance sur Hélène avec les saveurs des écoulements féminins et, ensuite, je trouve dans les "pertes" de la jeune fille plus de sucre et de velouté que chez son ainée.
Passé du hall à la terrrasse, je m'agenouille sur le côté du transat occupé par Elodie. Elle gémit dès que ma langue se glisse dans sa fente rasée et caresse mes fesses musclées avec un plaisir évident.
Puis elle me demande de me relever et d'approcher, ce que je fais volontiers en offrant le bout de ma queue à ses lèvres charnues. Pas de baise-main puisqu'Elodie est célibataire, mais un bisou sur chacun des deux sexes, en guise de "salutions distinguées".
Pierre, qui s'était absenté quelques instants, me tire par le bras, mettant fin à mes civilités et gestes hétéro. Il s'est changé et n'est désormais revêtu que d'un short/boxer tres moulant, de la même soie/tulle noir que sa femme. Le dessous recouvre admirablement, sans en rien cacher, sa belle tige et sa croupe cambrée.
Il m'entraîne vers un canapé en requérant d'Elodie qu'elle nous apporte tout le nécessaire pour un bon apéritif.