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 Les étals d'un fantasme 2

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MessageSujet: Les étals d'un fantasme 2   Les étals d'un fantasme 2 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 19:54

Putain ! Comme il aurait aimé l’inviter à aller faire un tour loin de cette foule et faire l’amour avec lui, mais comme toujours, le couillon qu’il était ne ferait pas le premier pas.
Il prit deux livres, donna deux euros au bouquiniste et avec une expression sur le visage qui l’invitait presque à le suivre, il dit souriant à son voisin, « je vous souhaite la bonne journée ainsi qu’une bonne lecture, au revoir »
Il retourna vers l’échoppe de tissus où sa femme était toujours occupée à retourner les rouleaux de tissus Provençaux n’arrivant pas à faire son choix.
Juste derrière, il y avait un camelot qui invitait les passants à assister une démonstration sur un soi disant coupe verre révolutionnaire, il se dirigea vers lui avec plus de curiosité que de besoin.
Il glissa le sachet avec les livres à son poignait, et croisa les mains dans le dos tout en s’approchant de l’échoppe pour regarder cet outil à tout-faire, et dans cette attroupement, il regardait le vendeur œuvrer.
Dans ce groupe compact, il senti un corps se presser contre lui, avec une certaine insistance, il appréciait ce genre de situation où dans la promiscuité, l’attouchement était facile sans paraître désobligeant.
A sa grande surprise, il restait collé contre lui, cela ne lui déplaisait nullement, au bout d’un moment voyant que ce contact se prolongeait, il laissa ses mains toujours croisées dans le dos effleurer ce corps qui le frôlait avec insistance depuis un bon moment.
Stupéfait, mais à la fois ravi, il sentait la personne derrière lui se lover contre ses mains.
Non ! Il rêvait là ! Une telle provocation était à peine imaginable, cela lui semblait presque impudique et pourtant il n’y avait pas de doute l’homme laissait sa porcelaine effleurer la paume de ses mains.
Il tourna la tête ! Et il constatait que l’individu n’était autre que l’homme avec lequel il avait échangé quelques mots chez le bouquiniste.
L’homme ne semblait nullement mal à l’aise par ce contact et engagea la conversation.
- C’n’est pas génial ce truc ! Et puis moi je ne suis pas très bricoleur.
Lui dit-il.
- oui c’est vrai, c’est un outil dont je n’ai nul besoin !
- vous avez une préférence pour certains outils ?
- oui ! Un outillage différent pour travailler mon argile.
- vous travaillez l’argile ?
- oui.
- vous devez être très agile de vos mains pour ce travail ?
- Je ne sais pas, si je suis agile où pas, mais j’aime ce hobby.
- Moi aussi je suis très habile de mes mains pour une autre forme de modelage.
Il comprit très vite, que l’inconnu jouait sur les mots, n’ayant à aucun moment manifesté d’indignation, mais bien au contraire, favoriser cet attouchement physique.
Alors fort de lui, il lui dit.
- C’est une invitation à partager nos hobbys ?
- pourquoi pas ! Je pense que cet échange pourrait nous être profitable.
- Je pense que oui.
- D’accord, alors rendez-vous demain vers quinze heures sur le parking à Vaison.
- D’accord, mais comment je vais te retrouver ?
- J’ai une vieille deux chevaux bleue et je serai stationné près de la poste.
- ok, à demain alors.
Il quitta l’échoppe tout émoustillé de cette rencontre et surtout de son audace, sa femme qui finalement avant achetée des tissus pour faire des nappes était toujours à l’étal.
En quittant le marché pour retourner à la voiture, sa femme lui rappela que le soir ils allaient au barbecue chez leurs amis.
Ces amis avaient loué dans un domaine résidentiel privé à Vaison, et le gestionnaire du domaine organisait un barbecue payant pour les résidents qui pouvaient inviter des amis.
C’était indirectement une bonne façon de faire sa publicité.
Vers dix neuf heures, ils mirent en route pour descendre à Vaison, arrivé au Clos Mathilde où ses amis résidaient.
Il stationna sa voiture le long de la route, car le domaine protégé par un portail électronique n’était accessible qu’aux résidents.
Son épouse sonna à l’interphone, notre amie lui répondit et au même instant la barrière s’ouvrit devant nous.
Dans les petites rues du lotissement, les gens se promenaient un verre à la main comme s’ils visitaient les lieux.
Nos amis, nous avaient rejoint au portail, tout en nous invitant à nous diriger vers la fiesta, de poignés de mains en poignés, ils nous présentaient à leur voisinage.
L’un d’eux, nous demanda, « vous désirez un verre de vin ? »
- Nous voulons bien s’il vous plait, mais je vais vous accompagner au bar.
Ils parlaient tout deux de la région, pendant que le barman versait les verres de vin, quand soudain dans l’assemblé, il remarqua un homme portant un chapeau de paille qui ressemblait étrangement à sa rencontre du matin au marché.
L’inconnu tout en gesticulant dans sa conversation lui fit face ! Pas de doute ! C’était le gars du marché, misère comme il le trouvait craquant ce type.
Il avait une envie folle d’aller vers lui et de lui parler pour mirer ce corps qui le faisait fantasmer.
Mais il ne pouvait abandonner la personne qui l’accompagnait sans en être désobligeant à son égard.
A la fin du repas, il alla chercher un verre de vin et tout en fumant une cigarette, il marchait seul dans les petites rues du domaine éclairées par de petites lanternes accrochées aux façades des maisons.
Le lieu était très beau, mais pour lui cela n’était en rien l’image de la Provence telle qu’il l’aimait.
C’’était un domaine résidentiel de vacances semblable à bien d’autres aux quatre coins du monde, où la beauté du pays restait loin des yeux.
Il préférait de loin son petit gîte perdu dans la nature entre vignes, oliviers et garrigue.
Des pas raisonnant derrière lui firent tourner la tête, « Il me semblait bien que s’était toi ! » dit-il tout en voyant l’homme du marché derrière lui.
- Que fais-tu ici ?
- Se sont nos amis qui nous ont invités à participer à ce barbecue, et toi tu habite ici ?
- Non ! Comme toi j’ai été invité par des amis, nous habitons une petite maison ‘’’ au Palis ‘’ un petit hameau entre Vaison et Ville Dieu.
- Tu habites le pays alors ?
- Non ! Nous habitons près du Touquet, j’ai hérité cette maison d’un oncle du côté de mon père, nous y passons ma femme et mois six l’an.
- C’est super de pouvoir vivre six mois ici, vous y passez le mois de juillet et le mois d’août ?
- Non ! Nous laissons ces deux mois aux enfants, on marche un peu ?
- D’accord, notre rendez-vous de demain tient toujours ?
- Bien sure ! Tu es toujours d’accord ?
- Oui, je me réjouis d’être demain.
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