Ben gémissait agrippé aux larges épaules de son partenaire qui glissait goulument sur son membre, il ne pouvait résister à l’envie de dire son plaisir, « Oh oui ! Continues comme j’aime ta bouche qui me pompe avec gourmandise».
Jean s’arrêta et avec l’agilité d’un félin, il changea de position sur sa proie, maintenant sa large queue bandante pendulait entre les lèvres de son partenaire.
Dans un soixante neuf frénétique, ils laissaient leur corps exprimer l’ardeur charnelle de cette fusion.
Cette variante n’était qu’une étape qui les conduirait vers l’orgasme car tout deux voulaient repousser à l’entraime l’instant de l’éjaculation.
Ben en harmonie avec les ondulations du corps de son amant qui rythmait ses sucions, laissait ses mains caresser les fesses massives de son complice tout en glissant lentement un doigt dans le défilé de ce mont dodu.
Savoureusement, il palpait cette rosette humide et souple, qui s’entrouvrait l’invitant, alors délicatement son indexe poussa cette porte pénétrant cette intimité.
Dés ce contact, Jean eu un soubresaut, il serra les fesses pour emprisonner ce doigt magique en lui, à son tour il parti à la découverte du petit cul de Ben tout en se gavant de sa bite.
Sous l’emprise de son excitation, à pleine main il massait les rondeurs de ce joli cul laissant de ci de là un doigt fouiner l’antre de cette tanière.
Quand il senti son indexe découvrir la mouille de ce cul, il accéléra ses sucions et langoureusement il le fit voyager dans ce fourreau de satin.
La mixité de ces caresses rendait nos amants fous, Ben sentait le feu se rependre en lui, il savait qu’il ne pourrait plus résister longtemps à la sensualité de ces attouchements car toute sa jouissance prenait le chemin de son bas ventre.
Il se libéra de cette bite et dans des chuchotements abracadabrants de sa bouche s’échappais un tendre cri, il jouissait son membre telle une corne d’abondance déversait le flot de sa semence.