Jean se gavait du déferlement de ce nectar qui inondait sa bouche, quand cette bite de feu eut déversée en lui la totalité de sa jouissance, il la quitta et gravit à contre sens le corps de son amant le couvrant de baisers.
Tel un escargot, il laissait sur ce corps échaudé les traces du sperme tracer son parcourt.
Il n’avait plus qu’un désir, prendre possession de ce corps en le pénétrant, très habilement dans son ascension il changea de position et vint poser ses lèvres sur celles de Ben.
Il écrasait ses lèvres charnues sur cette bouche qui s’entrouvrait pour laisser sa langue taquiner celle de son complice s’imprégnant de la saveur de son propre sperme.
Leurs mains enchevêtrées, les bras en croix leur corps marquaient le tempo de la frénésie de ces corps accolés l’un à l’autre se déhanchant pour caresser leur chair où perlait la transpiration, averse de leur jouissance.
De temps en temps Jean s’écrasait contre le bas ventre de son amant provocant de ce mouvement l’affrontement de ces bites bandantes.
Ben écarta les cuisses et replia ses jambes, invitant de ces gestes son ami à l’investir son cul.
Malgré l’appréhension éprouvée face à cette large queue dure comme le roc qui allait le pénétrer, il ne pouvait résister à ce désir.
Quand Jean avec délicatesse introduisit son gland dans ce passage secret, le visage de ben grimaça ! « Je te fais mal ? »
- Non, c’est une appréhension à la vision de ta grosse bite, pourtant si tu savais comme j’ai envie de te sentir en moi.
- Je vais être très doux pour te prendre car pour moi tu n’ais que tendresse.
Et il se laissa couler lentement dans cette belle offrande freinant son ardeur par des mouvements de velours.
Ben subjugué de tant de tendresse découvrait toute la sensualité ravageuse de cette queue qui le bourrait avec passion.
Comme le balancier d’une pendule de mouvements oscillatoires, il investissait son amant du tic-tac de sa jouissance laissant ses couilles telles des contres poids buter le bas ventre de ben.
Nos deux complices laissaient cette pendule égrainer le temps de ce merveilleux bonheur.
Comme la vie est capricieuse, hier ils étaient deux inconnus et en cet instant ils étaient deux amants en harmonie dans l’acte d’amour la plus belle passion de l’homme.