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 L'Héritage de pierres et d'amour 11

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MessageSujet: L'Héritage de pierres et d'amour 11   L'Héritage de pierres et d'amour 11 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 21:03

Et ils repartirent rejoindre Ferdinand amusés de leur comportement.de collégiens
- C’est une liqueur Martin que je distille avec mon cousin de Cairanne, tu vas voir c’est du pipi du petit Jésus.
Les trois compères levant leur verre tout en reprenant en cœur, « A la santé de notre belle amitié ».
Sur la table trônait la bouteille vide de coing, nos trois amis lui avait fait sa fête, Ferdinand tapota l’épaule de Martin en lui disant, « je te remercie encore pour ce succulent dîner, mais je vais te laisser pour aller au lit, demain sera une rude journée ».
- Moi je vais donner un coup de main à Martin pour faire la vaisselle, lança Olivier.
- C’est une bonne idée fiston, de toute façon, tu ne risque pas de te perdre en chemin.
Et sur ces mots, il prit congé regagnant sa maison.
Martin faisait couler l’eau chaude dans les cuvettes de l’évier, « tu laves où tu essuies ? ».
- Je préfère essuyer.
Au bout d’un moment, alors qu’il essuyait au torchon les verres, il dit : « Tu te promènes souvent à poil chez toi Martin? ».
- Maintenant oui, avant quand je vivais avec ma femme, elle trouvait cela ridicule car elle n’en voyait pas l’utilité, depuis que je vis seul je reste souvent nu du matin au soir dans l’appartement surtout l’été. Pourquoi me poses-tu cette question ?
- Moi aussi j’aime évoluer nu dans la maison d’autant que cela ne gêne pas mon père, et si l’on se mettait nu là tout de suite ?
Un regard complice brillait dans leurs yeux et sans plus attendre ils retiraient leurs vêtements sous leur regard contemplatifs chargé de désir, ils ne purent résister à l’envie de se toucher, de s’embrasser et après quelques câlins, martin tapa sur les fesses de son compagnon : « Il nous faut quand même finir cette vaisselle ma puce ».
Et côte à côte nus comme à la création, ils s’observaient laissant paraître l’un comme l’autre un sourire plein de promesses.
En rangeant la vaisselle dans les armoires dans ce ballet de corps nus tout était prétexte à des effleurements provocateurs, une fesse devenait soudainement l’objet d’une caresse où une main se perdait sur la croupe d’un fessier où frôlait délicatement dans ce chassé-croisé une verge qui des mouvements du corps oscillait comme un pendule, ce je jeu de provoque. émoustillait nos hommes et le désir planait dans l’air.
Comme deux gamins coquins, mais cette taquinerie émoustillait nos hommes et le désir planait dans l’air.
Alors que Martin rinçait l’évier, olivier vint se coller contre lui et de ses mains puissantes comprimait son corps contre le sien laissant sa bite se mouvoir sur ce joli popotin.
Puis elles se mirent à maroufler le sexe de son ami que ne tarda pas à prendre du volume sous la dextérité de ces visiteuses.
Martin se retourna et de ses mains patouillait la nuque de son amant tout en attirant son visage contre le sien, posant ses lèvres sur cette offrande pleine de promesses, il les dévastait d’un baiser sulfureux.
- Comme je te désir, dit Martin.
- Et moi, j’ai le cœur qui chavire dans tes bras.
De pas cadencés Olivier en marche arrière entraînait son complice vers le living, scotché l’un à l’autre, drogués de ce baiser.
Olivier se hissa sur la table, écarta les jambes et sans dire mot Martin vint se réfugier entre ces cuisses sans briser ce sublime baiser.
Son amant délaissa sa bouche pour se coucher sur la tablette de chêne y posant es pieds sur le bord : « viens, je te veux maintenant ».
Comment résister à une telle invitation … Martin de sa main guidait son gourdin vers cette fleur de bonheur, de coups de riens délicats, il laissait sa verge s’infiltrer dans l’intimité de cet homme.
De mouvements ondulatoires, il entrait et sortait de cette gaine humide y puissant le plaisir et la jouissance de cet accouplement amoureux.
Martin était follement amoureux d’olivier, mais pouvait-il avouer cet amour à son ami sans risquer d’en souffrir un jour ? Olivier partageait-il les mêmes sentiments ?
Il devait vivre l’instant présent sans se soucier des lendemains incertains, mais une chose était certaine leur complicité dans le présent était une pure merveille.
Il ne voulait pas éjaculer maintenant, il voulait aller plus loin dans l’envoûtement de leur relation : « Allons au lit ! Je veux plus que cette éjaculation qui me gagne par toi ».
La main dans la main, ils gagnaient la chambre où dans le froissement des draps ils laissaient leurs corps accomplirent les multiples facettes du jeu de l’amour.
Sculpturalement cette fusion de chair, de touchés câlins leur faisait visiter tous les orifices aphrodisiaques d’un corps éconduit vers l’ultime bonheur.
Cette nuit était magique, cet homme secret qui vivait en lui, dont il avait toujours contrôlé les pulsions tout au long de sa vie, ce soir, s’évadait sous l’arc-en-ciel des couleurs de ce merveilleux bonheur, il n’avait plus peur de crier sa jouissance à la face de son partenaire.
Au petit matin, quand Martin s’éveilla, il souriait tout regardant Olivier couché nu à côté de lui, sa main tendrement caressa ses cheveux, tout en se délectant de la beauté de son amant, il quitta dans le silence la chambre pour aller à la cuisine préparer le café et le petit déjeuner.
Quatre semaines s’étaient écoulées, Martin avait presque terminé les peintures et la décoration de sa maison, sans l’aide d’Olivier, il aurait resté bien plus longtemps pour faire ce travail.
En déposant le linge dans la machine à laver, Martin riait heureux de ces quatre dernières semaines, cette nouvelle tranche de vie était comme une renaissance par cet héritage de pierres et d’amour.
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