S'ils ont éprouvé un plaisir indicible à s'embrasser très amoureusement, Jean et Marc se délectent au jeu de langues qu'en 69, ils pratiquent désormais.
Lors de ses expériences bi, Jean n'avait pas été super emballé par les fellations quelque peu rapides auxquelles il s'était livré .... mais, sur la personne de son neveu, il ressent un véritable bonheur et apprécie - oh combien!!! - la sensibilité de la hampe vibrante et des couilles lisses de l'adolescent : il est en quasi-extase au contact de ce joli service/3pièces à portée immédiate de ses regard, lèvres et doigts.
Marc, quant à lui, découvre le sexe masculin et s'en repaît.
Avec le vagin de sa tante, il s'était régalé lors des jours précédents, mais tout est encore meilleur avec les trésors de "Tonton", le superbe membre veiné de ses 22X6, les couilles lourdes et velues, la toison sombre et broussailleuse, tous offerts à ses yeux admiratifs et une gourmandise vite dépourvue de tabous ou dégoût
Sa seule difficulté est d'adapter sa bouche au diamètre impressionnant de son viril partenaire.
Toujours lors de ses ébats bi, Jean ne s'était pas vraiment rendu compte du charme pouvant provenir de caresses sur les fesses.
S'il en avait reçu des hommes et femmes rencontrés en quatuors, sextuors ou +, elles avaient été plus énergiques que douces, sans durée : au cours de ces parties mixtes, les Messieurs tenaient à ne pas trop démontrer leurs côtés féminins!!!
Or, voila que Jean ne cherche plus à jouer systématiquement au mâle, que les globes imberbes et à la rondeur ferme de Marc attirent les mains et les lèvres de celui qui, jusqu'alors, n'était pas tellement tenté par les croupes masculines.
Voila un jeune homme qui frémit adorablement sous les calins de son senior et sait lui rendre la pareille, davantage encore palper merveilleusement les fesses duveteuses de son oncle et provoquer chez ce dernier des sensations quasi-inconnues.
Après plus d'un quart d'heure passé tête-bêches, les deux hommes ont de plus en plus de mal à contenir leurs jouissances.
Ils pourraient s'épancherr dans leurs bouches ou sur leurs visages réciproques, ce qu'aucun n'avait encore connu .... mais ils préfèrent se donner à nouveau des baisers et, après s'être allongé sur le dos, Jean attire son neveu au-dessus de lui.
Marc prend le visage de son vis-à-vis entre ses mains douces, se laisse pétrir les parties charnues et mouvoir par celui qu'il domine physiquement.
Les queues et les langues se mèlent, les corps frissonnent, les râles fusent, étouffés par les lèvres jointes, et les sèves montent.
Elles jaillissent en même temps entre les deux ventres ... au son d'un cri rauque de Jean, plus aigu et cristallin de Marc.
Sam 14 Fév 2009 - 16:39