Dès le épart de Mathilde, Jean prend Marc dans ses bras et l'étreint en l'embrassant amoureusement, déboutonne fébrilement sa chemise.
Le garçon lui rend aussitôt cette privauté, dénoue la cravate de son aîné et ouvre sa liquette de luxe.
Torses nus, les deux hommes poursuivent leurs baisers et frottent leurs tétons les uns contre les autres, poils de Jean calinant la poitrine imberbe de Marc.
Naturellement, les mains ne tardent pas à palper les braguttes super-gonflées, à défaire les ceintures et entraîner la chute des pantalons.
Un instant séparés, les amants se dévêtent complètement et, enlacés, descendent à l'étage où se trouve le petit studio de l'adolescent.
Ils roulent sur le lit, éperdus d'amour et de sexe.
En 69, ils lèchent leurs hampes et couilles, le Lycéen se régalant des boules veloutées et imposantes de son oncle, lequel aspire avec délice les burnes rondes, fermes et lisses de son neveu.
Bien vite, ils partagent un long et double cunilinguisme, chacun sentant la rosette de l'autre vibrer et se dilater sous l'effet des succions.
Ils se doigtent aussi.
Peu après, le senior balbutie :
"Marc chéri, je te désire en moi. Je veux te recevoir comme Mathilde m'a accueilli Dimanche soir".
Eberlué, n'ayant jamais conçu qu'un mâle viril puisse implorer une sodomie passive, il craint d'être maladroit.
Mais Jean est déjà allongé sur le ventre, a passé un coussin sous lui et, écartant ses fesses à pleines mains, offre son cul velu.
Alors, le jeune homme se couche sur "Tonton" et plaque son gland au droit de l'anneau en attente de glaive.
Jean n'a jamais été sailli, mais il a tellement envie d'être enculé et fut si bien léché et fouillé digitalement par son cadet que les 18X4 de celui-ci progressent sans mal dans le canal intime.
Les deux hommes râlent de plaisir et de victoire lorsque les jolies boulettes viennent caresser les parois velues de la croupe envahie.