Constatant que, loin d'être choqué ou rétif, Marc lui offre sa jolie queue à sucer et lécher, Hans se complaît à la faire vibrer entre ses lèvres, à gober doucement les couilles lisses de son compagnon.
Sans l'exprimer, il jubile en entendant les gémissements et râles du garçon,
en contemplant sa tête juvénile qui s'agite sur l'oreiller, en sentant des doigtsfébriles ébouriffer sa chevelure blonde de Germain,.
Parfois, il dégage son visage de l'entre-jambes de Marc et vient l'embrasser tendrement, lui murmurer des "Oh, mon Chéri".
L'Officier allemand est tenté de pomper à fond son jeune partenaire,
de goûter à son foutre d'ado,
mais il n'ose pas, se réservant ce plaisir pour plus tard.
Lorsqu'il sent Marc prèt à éclater, Hans retire sa bouche du méat et la porte sur celle de son nouvel ami.
Il l'embrasse doucement en le branlant, lui murmure des "Viens petit amour".
Et le "petit amour vient"; blanchit son ventre sous le regard attendrit de son masturbateur.
QuanD, le Lycéen est revenu "sur terre", le Teuton prend sa main dans la sienne et se branle ainsi.
Il crie un "Marc" assez sonore au moment d'éjaculer en jets épais sur son nombril et son torse.
Hans donne un dernier baiser à son amant et part vite à la salle de bains pour chercher un linge de nettoyage.
A son retour, Marc fait semblant de dormir ... mais il sent bien le tissu humide laver son recto "enfoutré".... après quoi il sombre pour de vrai dans les bras de MORPHEE//
Le lendemain matin, Marc est réveillé par la sonnette de l'appartement dévolu à Hans. Il se dépêche alors de filer dans son studio contigue, sans oublier de ramasser les pyjama, robe de chambre et caussons qui jonchent le sol de la chambre.
Déjà revêtu en militaire, l'Officier dépose un bisou sur le front du jeune homme, puis - une fois que celui-ci est sortit par la porte de communication - va ouvrir.
De son espace, Marc entend bien les propos tenus de l'autre côte de l'huis.
Le visiteur n'est autre que le Maire auquel Hans demande une liste des communistes et juifs de NANTUA, toutes personnes à surveiller.
Voila des nouvelles à donner aux oncle et Vicaire dès qu'il les verra, se dit Marc en allant faire ses ablutions matutinales dans son cabinet de toilette.