Si, durant une des dernières semaines de l'An 1940, Helmut et Marc connaissent ensemble une intense activité sexuelle, ils n'éprouvent pour autant aucune affection l'un pour l'autre.
A part lui-même et Hitler, le Général n'aime personne, ses maîtresses et jeunes amants n'étant que des objets rencontrés uniquement pour satisfaire ses fantasmes et sa libido.
L'adolescent de NANTUA n'est donc qu'un instrument de plaisir, une lope dont il apprécie seulement la beauté des formes physiques, l'art - si rare à 16 ans - de sucer et avaler, la merveilleuse réceptivité de ses gorge et petit cul.
Quant à Marc, il a bien vite fait de contater l'égoïsme exarcerbé du Militaire et de le mépriser.
Toutefois, il "prend son pied"
à subir les assauts du quinquagénaire,
à se faire magistralement limer la bouche et le fion par une bite aussi vigoureuse qu'endurante et adroite,
à déguster la mouille abondante et le foutre crémeux de son partenaire,
à se faire lécher, tripoter, embrasser par un homme qui, si dénué de sentiments soit-il, ne manque pas de sensualité.
Lorsqu'Helmut s'en va, Marc n'est pas attristé.
Bien au contraire, il est heureux d'avoir pu profiter du séjour d'un Chef S.S.
pour parfaire son éducation sexuelle .... encore qu'il n'était guère besoin,
pour recueillir de bonnes informations à "moucharder" aux Résistants.
Il est également tout joyeux de retrouver son Hans, S.S. certes, mais capable de rendre l'amour passionné que le Lycéen lui témoigne.
Jusqu'à la fin de l'année et le premier semestre de la suivante, soirées chaudes et calines vont donc agrémenter la vie des deux amants,
Marc ne cessant cependant pas de récolter des
renseignements, de photographier des documents ennemis ni de partager avec le Vicaire Jacques et son oncle Jean des moments de voluptueuse intimité.