20. Retour en cellule... et en abri !
Le retour en cellule ne tarda pas, malheureusement. Garder Dany plus longtemps à l'infirmerie eu pu paraître suspect. Une enquête avait bien été entreprise pour savoir qui avait participé à cette action de viol collectif, mais ce fut en vain, car les bouches se fermèrent, et Dany ne voulu dénoncer personne, ce qui lui valu le respect de ses bourreaux de la veille, et sans doute la paix à l'avenir.
Ray et Rachid accueillirent leur jeune compagnon avec joie, cette fois, comme s'il leur avait manqué vraiment, ce qui fit plaisir à Dany. Aussi ne marqua-t-il aucune résistance, malgré le souvenir de Christian, lorsque Rachid et Ray l'entreprirent gentiment le soir même...
Yves avait dû batailler ferme pour que sa mère le laisse à nouveau dormir dans « l'abri de jardin », comme elle l'appelait toujours !
Mais il avait réussi à la convaincre que Gérard et Eric viennent passer un week-end avec Pierre, et ce fut une bonne occasion. Tandis que Céline restait seule dans la maison, les quatre garçons avaient pu profiter du « chalet », comme disait Pierre pompeusement.
Ils s'étaient partagé « les lits », car Yves avait ajouté le vieux ressort du grenier à côté de l'autre lit, y ajoutant le matelas qui s'y trouvait également : par chance, la hauteur était la même, et quand ils les rejoignirent, cela leur fit un lit énorme où il serait facile de dormir tous les quatre !
Céline avait vu les deux lits, séparés bien sûr, et avait été rassurée de ce que son fils ne serait pas seul.
Ils étaient donc descendus après un film vu tous ensemble à la télé, vaisselle faite, pour « endormir » leur hôtesse par leur gentillesse...
A présent, tous les quatre se déshabillaient, s'étant bien assurés que la porte du chalet était bien fermée et ne pourrait mal d'être ouverte. Même si quelqu'un regardait par la fenêtre de l'extérieur, le rideau tiré empêchait de voir quoi que ce soit.
Ainsi, les quatre complices de débauche se promettaient-ils de « remettre ça », car leur première fois, dans la chambre d'Yves, leur restait un souvenir à renouveler !
Gérard avait entrepris Yves, tandis que Pierre et Eric s'étaient tout aussitôt mis à se rouler des pelles d'enfer !
Quatre jeunes queues, très vite au « garde-à-vous » comme de jeunes militaires, se frottèrent les unes aux autres...
Gérard était très doux et plein de tendresse, et Yves pensait un peu aux caresses de Ray en ce beau moment, se disant qu'en attendant son retour, il fallait bien qu'il prenne de l'expérience, pas vrai ? Aussi, ne se privait-il pas de répondre aux douces ardeurs d'un Gérard très excité par ce jeune homme dans ses bras. Il le caressait partout, sa langue ne quittant sa bouche que pour se promener sur la jeune peau très sensible, les têtons durcis d'un seul coup de langue !
Bientôt, cette langue descendit vers la jeune asperge qui montait vers cette bouche avide, l'avalant pour la plus grande satisfaction d'Yves qui gémit faiblement.
Un peu plus loin, Eric et Pierre étaient occupés à un savant soixante-neuf, et les bruits de succion n'en étaient que plus excitants. Pourtant, au gémissement d'Yves, ils se séparèrent pour se rapprocher des deux autres : Pierre, rampant, se mit à laper la queue de Gérard, tandis que Eric plaça sa queue à proximité de la bouche d'Yves tout en prenant le relais de Gérard sur sa queue, celui-ci s'occupant tout aussitôt de la rosette du jeune gaillard !
Voyant qu'il était un peu abandonné, Pierre vint sucer les tétons de son cousin qui se sentait à nouveau entrepris de partout, comme la fameuse après-midi dans sa chambre...
Yves alors du lâcher la queue d'Eric, tant la jouissance qui lui montait des reins était dure à retenir. Il tient pourtant plus longtemps que d'habitude, ne cessant de gémir de plaisir, ce qui excitait d'autant ses partenaires, jusqu'à, n'y tenant plus, il se déchargea dans la bouche d'Eric qui avala tout de go cette manne jusqu'à la dernière goutte, tandis que la langue de Gérard pénétrait profondément les entrailles d'Yves.
Dès que le plaisir d'Yves fut complet, Gérard entrepris de l'enculer doucement, avec des gestes tendres, tandis que Eric présentait sa queue à celui qu'il avait délivré, lui-même se chargeant à nouveau de celle de Pierre.
Ce petit jeu dura un bon moment, car Gérard était endurant, mais dès que celui-ci éjacula à longs jets généreux en Yves, Eric prit sa place, ne laissant pas à l'anus de ce dernier le temps de se refermer ! Il ne fallut que peu de temps pour qu'Eric vienne à son tour, remplacé cette fois par un Pierre qu'il connaissait pourtant bien, mais qui profita du chemin fait par les autres pour pomper vigoureusement son cousin et lui lâcher sa panade puissamment en à peine trois minutes !...
Après cela, le pauvre Yves s'endormit presque aussitôt dans les bras de Gérard qui le caressait à nouveau avec tendresse, ce que voyant, Eric et Gérard se tournèrent vers Pierre pour l'entreprendre à nouveau à deux cette fois !
Ce dernier n'avait jamais été à pareille fête : un gars pour lui sucer la bite, un autre pour lui bouffer la rondelle ! Divin... Enfin, si l'on peut dire.
En l'occurrence, Eric le suçait et Gérard, à nouveau en forme, s'apprêtait à le saillir dès que cette rondelle serait assez souple, ce qui ne tarda pas. Dès lors, Pierre fut transporté au septième ciel, car on s'occupait de sa queue, de son cul et de ses tétons qu'Eric n'oubliait pas dans le mouvement, et il les triturait du bout de ses longs ongles, ce qui électrisait littéralement Pierre qui lui vint bientôt dans la bouche dans un long cri, tandis que ses reins se remplissaient de la manne encore généreuse de Gérard, bientôt remplacé par Eric qui ne voulait pas être en reste, tandis que les deux autres s'embrassaient langoureusement.
Eric vint bientôt à son tour dans ce fourreau déjà bien graissé et très à son goût, avant que tous rejoignent Yves dans un sommeil réparateur...