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 Chapitre 30 - "Le cabanon"

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MessageSujet: Chapitre 30 - "Le cabanon"   Chapitre 30 - "Le cabanon" Icon_minitimeMar 11 Jan 2011 - 23:36

Chapitre 30 - "Le cabanon"


Le lendemain semble à nouveau devoir être une belle journée, quoique avec les fortes chaleurs des derniers jours, des orages sont possibles dit-on à la radio du matin.
Mais voyant le soleil, les garçons n'y croient pas trop et rejoignent Benjamin au cabanon, comme convenu la veille.

Benjamin les attend déjà, avec de l'anisette pour les rafraîchir, car il est trop tôt pour le pastis !
Les garçons on pris le goût de l'anis, boisson vraiment provençale s'il en est, et arrosée de l'eau fraîche du puits, c'est un délice :

- Ah, merci Ben, c'est super ton anisette ! dit Yves qui avait soif déjà.
- Oui, j'adore aussi, précise Pierre.
- C'est formidable, répond Benjamin enthousiaste, vous serez vite de vrais provençaux !
- Si ça pouvait être vrai... mais nous ne sommes là qu'en vacances, hélas, prévient Yves.
- Oui, c'est dommage... regrette Benjamin avec un air très déçu.
- Tu aurais aimé qu'on reste ?
- Oh oui, mais c'est pas possible hein ?
- Hélas non, mais on reviendra aux vacances, chaque fois qu'on peut tu sais.
- Oh oui, j'espère bien !

Les garçons bavardent ainsi un moment, puis Benjamin leur propose de leur apprendre à tailler un peu la vigne, ce qui est un éternel recommencement.

Il leur donne à chacun un sécateur, et leur montre où couper les « mendiants », ces pousses inutiles qui sont à éliminer pour que grandissent les raisins sélectionnés pour la future vendange.

Ils passent ainsi un long moment dans la vigne, et c'est le repas de midi qui les ramène, fourbus, au cabanon.
Là, Benjamin sort un grand panier rempli de victuailles qu'il déballe en disant que sa mère à pensé à eux trois, ce que nos amis trouvent sympa.

Avec les sandwiches faits de baguettes garnies de pâté et de jambon, Benjamin sort un petit vin frais, rafraîchi dans un seau d'eau du puits, comme Armand le lui a appris.

Dès qu'ils ont fini, Benjamin les ramènent dans les vignes, à l'autre bout du domaine...

Mais bientôt, le vent se lève brusquement et l'horizon s'assombrit en quelques minutes...

- Holà, les amis ! Nous avons juste le temps de rejoindre le cabanon avant l'orage, les prévient Benjamin.
- Tu crois ? demande Yves. C'est juste un peu sombre, ça va passer, non ?
- Non non, je t'assure, il faut y aller sinon nous serons trempés.
- Bah, dis Pierre philosophe, nous le sommes déjà de sueur, alors...

Cela fait rire les garçons, mais ils suivent tout de même Benjamin, finalement heureux de cette diversion qui leur donnera un supplément de repos : c'est que la vigne, ça crève quand on a pas l'habitude !

Les garçons se mettent à courir dès que quelques grosses gouttes se mettent à tomber sur un sol archi-sec, faisant gicler la terre en petits nuages de poussière, créant durant un moment comme un léger brouillard au sol.
Il ne faut pas très longtemps pour que Pierre, parti en avance, arrive et dépasse le cabanon en criant aux deux autres :

- Abritez-vous, je cours jusque chez Eunice pour qu'on ne s'inquiète pas de nous...
- C'est pas la peine... crie Benjamin, maman ne s'inquiètera pas.

Mais il a beau crier Benjamin, Pierre est déjà loin à présent, tandis que lui-même et Yves, trempés maintenant, arrivent au cabanon tandis que l'orage se déchaîne de plus en plus au-dessus de leurs têtes.

Benjamin n'a pas traîné et a aussitôt allumé un feu de sarments bien secs dans la cheminée puis, se déshabillant, il s'installe devant ce feu de bois pour se sécher, invitant Yves à faire pareil :

- Quitte ces vêtements mouillés, Yves, ou tu vas attraper la mort. Viens te sécher près du feu...
- D'accord, Ben, j'arrive.

Yves a donc fait comme Ben et a quittés ses habits trempés, short et t-shirt, et même s'il hésite un peu à enlever son calbar, il le fait en voyant que Ben n'en avait pas et que ses fesses, bien rondes et dodues se présentent à lui.
Les regardant ainsi le fait bander légèrement, mais il dirige vite son regard vers le feu pour éviter que cela empire...

- Ca arrive souvent ces orages soudain ? demande-t-il.
- Non, pas vraiment, mais cela peut arriver à tout moment ici, sans crier gare !
- Beh dis donc, c'est surprenant !
- Oui, et quand ça arrivait, Armand et moi on se réfugiait ici et on faisait du feu, comme ça !
- A poils tous les deux ?
- Mais oui, pourquoi pas ? On s'essuyait l'un l'autre... Attends, tu vas voir !

Et Benjamin prend dans la grande armoire un grand drap de bain et le jette sur les épaules d'Yves, puis se met à le frictionner vigoureusement :

- Faut pas prendre froid, surtout !
- Nnnn... non, approuve un Yves secoué. Je te sècherai aussi, si tu veux...
- D'accord, mais d'abord, tu te laisses faire !

Et Benjamin continue à sécher Yves consciencieusement, les cheveux, puis le corps tout entier en descendant, s'attardant sur les fesses, mais ne craignant pas de passer sur la queue d'Yves, puis ses cuisses et ses jambes. En se penchant, il frôle de ses cheveux la bite d'Yves qui continue à se redresser doucement...

- Tiens, à toi maintenant ! dit Benjamin en tendant l'essuie de bain au garçon qui grimpe sur un tabouret pour s'occuper des cheveux du grand Ben.

Ce faisant, sa queue vient frôler la joue de Benjamin... qui aussitôt l'attrape avec douceur dans une main, tandis qu'Yves fait comme si de rien n'était, après une seconde de surprise, et continue à sécher les cheveux de Ben.

- Ca t'arrive de jouer avec ça ? demande Benjamin doucement.
- Heu... oui, bien sûr.
- Et tu aimes ça ?
- Mais oui... et toi ?
- Moi aussi... Armand me disait que c'était normal et naturel.
- Vous parliez de ça aussi ? s'étonne Yves.
- Oh, tu sais, on parlait de tout, lui et moi : c'était comme un père, mais aussi c'était mon seul vrai copain, tu sais...
- Je comprends. Mais tu sais, maintenant je suis là, et je veux aussi être ton copain, peut-être même ton ami, si tu veux ?
- Tu veux vraiment ? demande Ben les yeux brillants, tenant toujours la queue d'Yves qui ne sait quelle contenance prendre à son sujet. Bien sûr, il n'a pu s'empêcher de bander tout à fait, tripoté ainsi !
- Mais oui, pourquoi pas ? Je t'aime beaucoup, déjà, et Armand était le cousin de maman, donc aussi le mien, même si je ne le connaissais pas. Tu me parleras de lui, tu veux ?
- Oh oui ! Il était si gentil avec moi...
- Mais dis-moi, heu... est-ce qu'il te prenait aussi la queue, comme ça ?
- Hi hi hi, mais non, pas lui quand même ! Mais un grand du catéchisme m'a montré, et j'aime ça. Alors, j'en ai parlé avec Armand qui m'a expliqué comment ça marchait, les filles et les garçons... mais moi, j'aime pas trop les filles ! Toi bien ?
- Non, Ben, moi aussi je préfère les garçons, en fait. Avec Pierre, nous nous amusons parfois à jouer avec nos queues...
- C'est vrai ? fait Ben intéressé, vous me montrerez ?
- Heu, si tu veux... Mais je peux te montrer tout de suite, si tu veux ?
- Ok, je veux bien...

Alors, maintenant qu'ils sont secs mais toujours nus, Yves redescend de son escabeau et se baisse vers la queue de Ben qui entretemps s'est mis à bander aussi. Il l'englouti dans sa bouche très doucement, et Ben se met à gémir doucement.

Après un moment, c'est lui qui entraîne Yves vers le lit de fer ou ils se couchent, tandis que l'orage se déchaîne toujours dehors...

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