"Le bonheur est dans le pré" - 7

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Sans doute plus extraverti et audacieux que je ne le suis, Claude prend des inititives dont je lui sais gré :
ce n'est pas facile, à presque 40 ans l'un et l'autre, de faire pour la première fois l'amour entre hommes !!!Après des caresses douces et baisers langoureux, c'est lui qui met un peu de fougue à notre étreinte et nous fait rouler enlacés dans le lit, puis rejette le drap pour poser plus aisément ses lèvres, doigts et paumes sur l'ensemble de mon recto.
Allongé sur le dos, écartant les jambes, je m'abandonne sans pudeur, massant les omoplates et les reins de mon entreprenant compagnon, ébouriffant ses cheveux, frémissant de toutes parts, gémissant et bégayant des "Ho ouiii Claude, c'est bon".

La tête de mon ami descend lentement vers mon bas-ventre.
Sa langue aspire mon nombril, humidifie ma toison pubienne et me fait sursauter, râler de plaisir, lorsqu'elle atteint mon gland qui n'en, bave que davantage.
Jamais je n'ai été léché aussi bien par une femme ni, à ma grande surprise, ressenti tout le bonheur éprouvé par la personne qui me fait tout cela.
Du coup, je me contorsionne un peu pour placer mon visage entre les cuisses de Claude, lui rendre la pareille et engager un 69 dont les propres mouvement de ce dernier me démontrent qu'il en a autant le désir que moi-même .....
en une commune asiration à découvrir les délices d'un tête-bêche au masculin.

Grisés par cela, Claude et moi, nous accentuons la pression de nos ains sur nos croupes respectives, donnons plus de vigueur et d'habileté à nos fellations, aux succions sur nos couilles et hampes.
Nous nous pompons en ravissement partagé de sucer et d'être sucés.
Nous vibrons de toutes nos chairs et crierions de joie si nous n'avions pas la bouche pleine .

Les sèves montent inexorablement et, loin de nous détacher par quelque dégoût d'avaler du foutre, nous demeurons bien accolés,
avides de connaître une amertume autre que celle née d'orgasmes féminins.
Nos palais se remplissent en même temps et nous goûtons un nectar inconnu, des saveurs nouvelles dont aucun n'a l'idée de rejeter les effluves.

Quelques instants plus tard, nous nous embrassons à nouveau, mélant quelques reliefs et arômes de nos semences.
Trop ému pour dire quoique ce soit, nous nos fixons du regard, chacun pouvant lire dans les yeux de l'autre, la plénitude d'un amour.
Repassés sous la couette, entrelacés, nous vivons pleinement le moment présent ... dans le silence, mais aussi l'espérance de "lendemains qui chantent"..

j'ai tout lu !
elle est super géniale ton histoire, Volupté, lol !

moi j'aime bien quand y'a un jeune comme moi, comme dans l'autre groupe, tu sais avec la guerre, c'était génial !
tu l'avais pas finie, si ?

mais je suppose que tonton va tout ramener ici, quelle chance, car ce seraitcon de les perdre !

bisous à toi,
Tony

Je me suis laissé emporter par l'histoire et me retrouve avec une belle bosse

Merci et au plaisir de vous lire