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 L'homme sous le tilleul 11

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MessageSujet: L'homme sous le tilleul 11   L'homme sous le tilleul 11 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 19:47

Mais je devais me résigner à le laisser pour redescendre au gîte près de Marie, une trop longue absence pouvant lui mettre la puce à l’oreille.
C’était toujours un déchirement de le quitter car j’étais malgré moi devenu dépendant de cet homme que j’aimais d’un amour qui devenait l’horizon de ma vie.

Deux jours plus tard, vers quinze heures, revenant d’Orange, où sur le conseil de Félicien, nous avions visité le magasin de meubles d’un de ses amis, et trouvé là notre bonheur, un divan et des meubles de cuisine pour équiper le coin cuisine du logis.

Dans la voiture sur le chemin du retour, Marie était euphorique, excitée par nos achats à bons prix, nous avions trouvés un magnifique divan d’occasion et le patron nous avait proposé une cuisine d’exposition en fin de série qu’il nous laissait à demi-prix sans le montage.
J’étais bon bricoleur et faire le montage de cette cuisine n’était pas un problème, nous étions mardi et la livraison était prévue pour vendredi, il me restait tout juste une semaine avant notre départ pour l’installer dans le logis.

Toute souriante Marie me dit, « Si nous allions annoncer la bonne nouvelle à Félicien ? »
- Pourquoi pas ! Cela lui fera plaisir de savoir que nous avons trouvé notre bonheur chez son ami.

Arrivant à la maison de notre ami, nous constations qu’il n’était pas encore de retour, ma femme poussa la porte et entra dans notre futur logis.
- Nous serons bien dans cette maison, c’est un miracle ta rencontre avec cet homme de grand cœur.

Elle ne pouvait pas mieux dire, pour moi cette rencontre avec Félicien me rendait une seconde jeunesse, certes pas de corps mais mentale, il y avait très longtemps que je n’avais plus ressenti une telle joie de vivre.

Soudain j’entendis le bruit du moteur du tracteur, « tiens voilà Félicien ! ». Et d’un pas pressé je sorti de la maison pour aller vers la grange.
Il me tournait le dos déchargeant des caisses d’abricots qu’il rangeait sur une palette.
- Tu es encore allé aux abricots ?
- Oh bonne mère ! Tu m’as fait peur, je ne t’avais pas entendu venir, et alors raconte ?
- Nous avons tout trouvé chez ton ami, mais je vais laisser à Marie la joie de te le raconter tant elle est heureuse de nos achats. Attends ! Je vais te donner un coup de main pour décharger les caisses.
- C’est pas de refus mon grand, et quoi ! Tu ne me fais pas la bise ?
J’allai vers lui et l’embrassai sur la joue, mais le coquin très habilement, il posait ses lèvres sur les miennes.
- Tu es vraiment un faux cul, je te tends la joue et toi tu m’embrasse sur la bouche ;
- Ho pardi ! Le feu brûle en moi, voilà deux longs jours que je suis à la diète, alors un petit baiser c’est toujours ça de pris, et puis ne me dis pas que cela te déplait.

Une fois la palette chargée avec le transpalette, on la conduisit dans le frigo pour la conserver sous brumification, il ferma la porte en me disant, « Attends nous allons reprendre deux palettes de caisses vides dans la remise derrière et les charger sur la remorque ».
Il passait devant moi et je le suivais tirant la machine, de l’extérieur il était impossible d’imaginer que le domaine possédait autant d’annexes.
- Voilà, tu peux prendre celle-là.
Je fis glisser les fourches sous la palette et d’un mouvement de va et vient des bras sur le timon, je soulevai la palette, Félicien en silence s’était rapproché de moi et je sentais sa grosse main me tripoter mon service trois pièces.
- Ho pitchoun comme j’ai envie de toi, laisses-moi juste te caresser la quéquette.
Collé contre mon corps, d’une main il me pressait tout contre lui tandis que de l’autre il faisait descendre la tirette de mon jeans.
Je souriais, fier de son désir de moi, et j’en bandai déjà, il éprouvait des difficultés pour sortir mon sexe de mon jeans moulant.
A force de persévérance, il eut gai de cause, entre ses doigts ma verge bandante prônait dans la pénombre de la remise.
Je lâchai le timon du transpalette, et contournant mon corps des mes mains, je vins boursicoter sur la toile de son pantalon son sexe turbulent, laissant ma pulsion guider mes gestes, je descendais la fermeture éclair de sa braguette.
Ma main malicieuse tripotait cette bite en chaleur, agrippant son slip, je fini par glaner cette verge échaudée qui se trémoussait dans ma patoche.
Là ! Caché derrière les palettes de caisses vides, nous nous abandonnions au plaisir de la masturbation, aguichés de nos caresses, seule l’éjaculation pouvait faire tomber la pression de nos bites bandantes.

Comme j’aurai voulus avoir le temps pour laisser s’éclater toute la passion de mon amour de cet homme, mais le risque était grand car Marie à tous moments pouvait venir nous surprendre, alors par prudence cette branlette ne pouvait s’accommoder de mise en bouche.
Cela me faisait penser à un repas prit sur le pouce juste pour nourrir un corps en manque, mais je savais que Félicien et moi ferions d’autres festins bien plus divins.
Nous n’étions pas une simple aventure de vacances, il y avait entre nous la trame d’un amour sincère sur laquelle se tissait le dessin d’un futur que nous voulions partager.
Le lendemain matin, Félicien passa au gîte prétextant qu’il avait besoin d’un coup de main.
Ma femme l’invita à partager avec nous le repas du soir, notre dernier festin de vacances.
Il accepta tout de suite l’invitation, embrassa Marie et l’on monta dans la camionnette direction le champ d’abricotiers.
- Je veux encore une fois te faire l’amour avant ton départ.
Il arrêta le véhicule, n’entrainant vers le cabanon, et là, il me fit l’amour, comme si il voulait laisser en moi l’empreinte de son amour, derniers clichés de lui que j’emporterai vers mon pays.
Comme j’aimais cet homme ! Comment allais-je pouvoir vivre deux mois sans lui ?
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