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 L'Héritage de pierres et d'amour 4

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MessageSujet: L'Héritage de pierres et d'amour 4   L'Héritage de pierres et d'amour 4 Icon_minitimeVen 13 Fév 2009 - 20:49

Martin tout en écoutant ce récit faisant tournoyer d’un geste souple le vin dans son verre, et dit : « Pour moi, grâce à mon cousin, mon rêve devient réalité, jamais, je n’aurai imaginé posséder un jour une maison en Provence ».
- Tu verras le pays est très beau, tu restes avec nous pour partager le dîner ? Je te ferai goûter ma soupe au pistou, et puis mon fiston sera heureux de faire ta connaissance.
- Vous avez un fils qui vit encore avec vous ?
- Hé oui ! Ce gros bêta de quarante six ans est toujours avec moi, il ne veut pas prendre femme.
- C’est qu’il est heureux auprès de vous.
- Je n’ai plus que lui, c’est un bon petit, alors par-dis ! Cette soupe tu la partages avec nous ?
- D’accord, je suis preneur pour la soupe au pistou.
- Oh bonne mère ! Et si on se tutoyait ? Moi c’est Ferdinand.
- Je préfèrerai aussi, moi c’est Martin.
- Hé bien Martin, trinquons à notre bon voisinage.
Notre conversation semblait dessécher nos gosiers car c’était le second pichet de rosé que Ferdinand posait sur la table.
Tandis qu’il parlait de la beauté de son pays sans savoir qu’il prêchait un converti, brusquement la porte s’ouvrit, Martin tourna la tête vers elle, il n’en croyait pas ses yeux dans le contre jour du soleil se profilait la silhouette colossale d’un homme.
La porte refermée, Martin restait bouche bé de stupéfaction face à la masse corporelle de l’homme, il était baraqué comme un joueur de rugby, il devait mesurer plus d’un mètre quatre-vingt et peser plus de cent kilos.
- Hé alors … dit Ferdinand… Tu as fini la taille des vignes ?
- Celles près de la garrigue sont faites, demain je terminerai les autres.
- Martin ! Je te présente mon fiston Olivier.
Lorsque l’homme lui serra la main, il eut soudain l’impression d’être un nain de jardin, il ne pouvait s’empêcher de le dévisager de la tête aux pieds, sa main perdue dans cette énorme patoche.
- Martin est le cousin de Roger, il a hérité de la maison et va devenir notre nouveau voisin.
- Bien venue au pays alors, j’espère que nous ferons bon voisinage.
- Tu sais pour le voisinage! Je ne suis pas un homme bien compliqué, je dirai même que je suis facile à vivre.
- Je l’ai invité à se joindre à nous pour le dîner ce soir.
- Tu as bien fait le père, je vais prendre une douche, me changer et je reviens pour l’apéro.
Lorsque qu’Olivier vint les rejoindre à table, Martin ne parvenait pas à détacher son regard de cet homme, sa chemise ouverte faisait offrande de son torse nu où un léger duvet de poil noir accentuait sur sa peau bronzée, la rondeur de ses pectoraux grassouillets moulés dans sa chemise blanche, ce mec était craquant.
Pendant le repas et la soirée Ferdinand contait des anecdotes sur toutes ces années passées avec '' Le Roger ''comme il disait, Olivier y mettait sa touche personnelle y mêlant les récits de l’adulte ainsi que les souvenirs de l’enfant.
Ensemble ! Ils lui faisaient revisiter dans la joie et les rires, une partie de la vie de ce cousin, dont il n’avait que de vagues souvenirs d’enfance.
Noyées dans les rires et le rosé, les heures sur le cadrant du temps passaient sans que les aiguilles ne préoccupes nos trois compères.
Martin, tout au long de la soirée, n’avait cessé de mater Olivier avec discrétion, ses yeux ce délectaient du physique de cet homme, il imaginait ce corps nu avec une excitation mentale qui le troublait terriblement, comme il avait envie de lui faire l’amour.
Plusieurs fois leurs regards s’étaient croisés sans chercher à se fuir, à chaque fois, le visage angélique, presque enfantin d’Olivier s’agrémentait d’un sourire qui telle une caresse semait le doute et le trouble dans l’esprit de Martin.
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