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 Chapitre 23 - La permission

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MessageSujet: Chapitre 23 - La permission   Chapitre 23 - La permission Icon_minitimeDim 25 Avr 2010 - 19:21

Chapitre 23 - La permission


Nos voyageurs sont rentrés de Provence, et les garçons tous repartis : Gérard et Eric de retour à leurs syllabis d'étudiants pour une seconde session de septembre, tandis que Pierre a suivi ses parents, promettant d'être bientôt de retour.

Les funérailles du cousin Armand se sont passées très simplement, et Céline et son frère ont été surpris d'apprendre qu'ils héritaient de la petite maison provençale de leur cousin, avec son morceau de terre attenant, pour un potager, et aussi une assez grande vigne généreuse qui offrira bientôt un raisin prometteur.
Ils se sont donc promis de revenir ici dès que possible, et en attendant, ils ont confié la clé à Eunice, la vieille voisine qui s'occupait déjà du ménage d'Armand, lui donnant un numéro de téléphone « au cas où »...

Remontés aussi vite vers la Belgique, Céline et son frère faisaient déjà des projets de vacances communes pour le mois d'août, ce qui ferait sûrement plaisir aux garçons qui ne connaissaient pas cette belle région de France : « Ce serait chouette de redescendre tous en Provence, non ? » avait propose le père de Pierre à sa soeur.


A présent qu'ils sont rentrés et qu'ils ont annoncé cette intention, les garçons ont bien sûr sauté de joie. Mais une lettre est arrivée de la prison ce matin, et notre ami Ray  annonce une permission pour le week-end prochain, tandis que sa toute prochaine sortie possible devrait passer devant la Commission ad-hoc...

Le week-end est vite là, et Céline et Yves sont allés chercher Ray à la prison. Tous trois sont heureux de se retrouver, même s'ils trouvent Ray amaigri par son dernier séjour. Céline se promet de le gâter, même si un week-end ne suffira pas à le faire grossir, sinon de quelques grammes !
Céline est heureuse de retrouver Ray, car elle se sent toujours amoureuse de lui, depuis qu'il est passé par son lit...

Yves, qui a fait beaucoup de découvertes depuis celles qu'il a faites avec Ray, est heureux aussi de retrouver celui-ci pour lui raconter ses aventures. Il pourra le faire tout à l'heure car sa mère ira chercher Pierre, qui vient aussi passer le week-end, mais que son père n'a pas le temps d'amener.
Dès qu'ils sont « à la maison », comme dit Ray avec plaisir, il propose de s'occuper du repas pendant que Céline ira chercher Pierre, mais celle-ci lui dit que tout est prêt déjà, et qu'il peut aller se promener avec Yves sur ce temps-là, plutôt, car elle lui a promis de les laisser se retrouver « en vieux amis » !

C'est ainsi que Ray et Yves se promènent dans le bois voisin de la maison, là où ils se sont rencontrés, en fait, et Yves demande à son ami de mimer leur première rencontre, mais cette fois en « abusant de lui », comme s'il était là uniquement dans ce but.
Ray, qui ne se sent pas l'âme d'un pédophile même si Yves est à présent un grand ado accompli, est d'abord réticent, mais Yves le supplie de jouer le jeu, car il a l'impression que ça peut être excitant pour tous les deux...

Ainsi, Ray se cache derrière des buissons, et Yves se promène, quand il se sent immobilisé par une main puissante, tandis qu'une autre le bâillonne pour l'empêcher de crier. Il entend dans son oreille : « ne crie pas, mon gars, et il ne t'arrivera rien de mal... ».
Jouant le jeu, Yves promet de ne rien tenter pour s'enfuir, même s'il sent à présent qu'une main lui dégrafe la ceinture de son jeans et fait tomber celui-ci sur ses pieds, l'immobilisant en effet. L'instant d'après, c'est sa chemise qui s'envole à son tour, et son slip prend le même chemin.
Nu comme un ver, les mains puissantes et douces de Ray le caressent, le faisant très vite bander. Il se retrouve à quatre pattes, les jambes écartées, et le cul offert à une langue qui le fouille bientôt, humectant sa rondelle abondamment, avant de se sentir sailli par un gland qui l'investi doucement...

Ray, qui joue le jeu, est surpris de trouver autant de plaisir à celui-ci, même si sa « victime » est en fait consentante. Ce jeune cul ainsi offert est tendre à souhait et il prend un plaisir infini à retrouver « son » Yves dont il avait un peu oublié la douceur de peau. Il s'investit tout entier dans cette lime et la fait longue et tendre, voulant qu'Yves en profite un maximum. Ce dernier ne se prive pas de gémir, prenant son pied avec son ami qu'il a tant plaisir à retrouver.
Mais ils ne peuvent s'éterniser, et dès qu'ils ont joui tous les deux, ils retournent doucement à la maison, attendre sagement Pierre et Céline.

Quand ces derniers arrivent, la table est mise pour quatre, et Céline n'a plus qu'à allumer son four pour cuire très vite le rôti de boeuf qu'elle a prévu avec des légumes verts : petits pois frais, purée de brocolis et haricots princesses. Yves l'aide, car il adore faire la cuisine, et il se débrouille pas mal pour un garçon de son âge.
Ils se régalent tous les quatre, mais surtout Ray qui apprécie la cuisine « à la maison » plutôt que la cantine de la prison.
Pour le dessert, Céline a préparé de la tarte-Tatin que les garçons adorent, et que Ray apprécie également dès qu'il la goûte.

Le temps passe vite, hélas, et s'ils sont allés faire un tour tous ensemble l'après-midi dans le voisinage, le souper les remets à la même table où ils se plaisent à quatre, décidément ! Là, un plateau de divers fromages avec un bon « Côtes du Rhône Village » les réuni encore une fois avant qu'un Monopoli d'enfer les fassent rire aux éclats durant une longue soirée.

Vient l'heure du coucher, bien sûr, et les garçons obtiennent de pouvoir aller « au châlet », tandis que Céline gardera Ray pour elle toute seule, bien sûr...
Les amoureux sont heureux de se retrouver, sans aucun doute, et Céline n'a pas fort protesté quand les garçons ont déclaré vouloir dormir dans leur abri : ainsi, pas de danger qu'ils les entendent !...

Yves, de son côté, est un peu jaloux de sa mère qui va passer sa nuit dans les bras de « son » renard, mais en Petit Prince bien élevé, il se raisonne et se dit que d'autres occasions viendront encore. En attendant, il y a le bon Pierre avec qui il n'a plus passé une nuit à eux deux depuis longtemps... et ce dernier s'en montre très heureux, semble-t-il, car il ne laisse pas le temps à son cousin de se déshabiller qu'il l'entreprends déjà !

Ils sont à peine descendus dans le châlet que Pierre embrasse son cousin avant que celui-ci n'ait le temps de se déshabiller lui-même, car il lui arrache presque ses vêtements :

- Ah, mon cousin, tu vas voir de quel bois je me chauffe ce soir !
- D'un bois bien dur, il me semble, mon cousin ! répond Yves en riant et en soupesant la queue bien dure de Pierre dans son jeans.
- Il y a trop longtemps que je ne t'ai pas eu pour moi tout seul...
- C'est vrai, mon Pierrot. Là, tu m'as toute une nuit pour toi tout seul, tu es content ?
- Plus que content ! Tu vas voir ça...

Et Pierre, après avoir jeté aussi ses vêtements rapidement à terre, achève de déshabiller son cousin qui s'amuse de cette ardeur, qu'il trouve pourtant flatteuse, en somme ! Il se retrouve donc très vite couché sur le lit, grignoté par les lèvres de Pierre qui l'explorent de haut en bas, sans lui laisser le temps de souffler...

Pris au jeu, Yves répond à l'ardeur de son cousin en l'entraînant dans un 69 gourmand.
Il sait que Pierre en est friand, et lui aime cela aussi, aussi c'est avec conviction qu'il lèche et pourlèche la belle queue de Pierre, la titillant parfois de ses dents, délicatement, pour rendre Pierre plus fou encore si besoin était !
Celui-ci, ainsi encouragé, est passé de la queue à la rosette d'Yves, qu'il suce et investi de sa langue jusqu'à ce que son cousin gémissant lui demande de le prendre, bien « au point »...
Pierre alors pénètre Yves et se lance dans un puissant va et vient, face à son cousin, embrassant celui-ci de temps à autre, comme pour calmer le jeu, avant de reprendre sa chevauchée jusqu'à ce que de ses reins montent une vague puissante de bien-être, et qu'il se répande dans les jeunes entrailles de son cousin complice.

Ils se reposent ensuite un peu, mais Yves veut à son tour ensemencer son cousin, et il ne tarde pas à entreprendre la rosette de celui-ci qui se laisse faire avec plaisir, jusqu'à s'enflammer à nouveau lui-même, lui demandant de le « prendre vite », ce qui encourage notre Yves à l'investir et à le pomper joyeusement jusqu'à ce qu'il remplisse à son tour de sa jouissance le fourreau de Pierre...

La nuit se passe ainsi en alternance durant un bon moment avant que les jeunes s'endorment.


Dans la maison, la chambre de Céline se fait complice de ses gémissements, provoqués par un Ray qui ne demande qu'à la faire jouir : sa chatte ruisselante prouve combien elle est chaude, et il pense un instant que la mère et le fils sont des jouisseurs, mais son sourire de cet instant est interprété autrement par une Céline qui lui dit : « Prends-moi, Ray ! Maintenant... ».
Le permissionnaire ne se le fait pas dire deux fois, et plonge sa queue dans le chaud minet mouillé, comblé de le recevoir, car Céline gémit très vite, et cela tout au long de la lime de Ray, très endurant comme on sait, tant et si bien que ce sont bientôt des cris de jouissance que poussent Céline, auxquels Ray répond par des grognements de satisfaction, bientôt suivis de quelques cris brefs quand une onde de plaisir intense, venant des reins, lui fait lâcher de longues rasades d'une semence qui ne demande qu'à germer, bien au fond du nid chaud des entrailles de Céline.

Celle-ci, anéantie par cette jouissance puissante à laquelle elle n'est plus habituée, se laisse aller de la tête sur l'épaule accueillante de Ray, lui susurrant des mots d'amour.

Ray, s'il aime les garçons, n'est pas indifférent à la féminité aimante de Céline et trouve bien doux d'être ainsi aimé et désiré par cette belle jeune femme dont il se met à rêver de la faire sienne pour de bon... s'offrant ainsi du même coup, la mère et le fils, pour son plaisir, mais aussi celui de ses partenaires.
En attendant, Céline et lui se livrent encore à bien des jeux amoureux en cette nuit de retrouvailles, et l'aube les trouve à peine assoupis quand elle rosit leurs fenêtres...


Les quatre amants, fatigués par une nuit d'intenses activités amoureuses, se lèvent tard et c'est un « brunch » qui les réunis finalement autour de la table.
Des oeufs et du lard, des céréales, des fruits, mais aussi des cuisses de poulet, des oeufs durs et de l'américain aux câpres garnissent une table qui se veut reconstituante après une telle nuit !
Ils dévorent tous les quatre, et Céline est étonnée d'être aussi affamée, pour une fois, que les jeunes gens qui sont coutumiers du fait. Elle ne s'étonne même pas, persuadée qu'ils ont parfaitement bien dormi... comme ils lui ont dit, bien sûr.

L'après-midi se passe au jardin, car il fait magnifique et ensoleillé. Ray et Céline occupent des transats, tandis que les jeunes gens se risquent un peu au ballon, jusqu'à ce qu'ils envoient celui-ci sur la rue, par-dessus la haie. C'est en allant le rechercher qu'Yves remarque une voiture qu'il croit connaître : celle de l'Inspecteur de Police, celui qu'il connait pour l'avoir vu venir dans « la cache »...

Que faisait-il donc là ?
Etait-il donc là pour surveiller Ray qu'il savait peut-être en permission, ou bien venait-il dans l'espoir de l'apercevoir, lui ?

Jouant le tout pour le tout, l'Inspecteur ayant remarqué qu'Yves l'a repéré, celui-ci sort de sa voiture sous laquelle le ballon est allé se loger, comble de la dérision, car il oblige Yves à se pencher sous celle-ci pour le récupérer : le policier en profite pour lui passer la main entre les jambes, caressant une bosse qu'il semble toujours convoiter, lui disant : « si tu veux bien, pour une fois seulement, dors dans ta cabane cette nuit et laisse la porte ouverte, je t'en prie, ok ? ».
Yves hésite quelques secondes, mais voyant l'air suppliant de cet homme qui le mate ainsi, transi de désir, il lui répond :
- D'accord, inspecteur, cette nuit je vous attendrai.
- Merci, mon garçon, tu ne le regretteras pas !


Ils ont reconduit Ray à la prison en fin d'après-midi, Céline pendue à son cou un moment, les yeux dans les yeux, lui faisant mille promesses.

Ensuite, Ray et Yves se sont embrassés en hommes, mais Ray a susurré à l'oreille d'Yves : « je t'aime, mon Petit Prince... » !

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